Portrait de Georges Banu
Auteur·e
/ Artist·e

Georges Banu

Écrivain, essay­iste et uni­ver­si­taire, Georges Banu a pub­lié de nom­breux ouvrages sur le théâtre, dont récemment La porte au cœur de l’intime, Actes Sud, 2015. Mem­bre du comité de rédaction d’Alternatives théâtrales il en a été le directeur de pub­li­ca­tion de 2000 à 2015.

Il est pro­fesseur d’études théâ­trales à la Sor­bonne Nou­velle et au Cen­tre d’études théâ­trales de l’Université de Lou­vain. 

LE SILENCE DES COMMUNISTES, utopie et mélancolie

EN 2006, la pre­mière du spec­ta­cle de Luca Ron­coni, LE SILENCE DES COMMUNISTES, avait quelque chose de kan­to­rien… Au pre­mier rang, l’un à côté de l’autre, se retrou­vaient…

Par Georges Banu
Luigi Lo Cascio, Maria Paiato et Fausto Russo Alesi dans IL SILENZIO DEI COMUNISTI de Vittorio Foa, Miriam Mafai et Alfredo Reichlin, mise en scène Luca Ronconi, Piccolo Teatro, Milano, 2006. Photo Marcello Norberth.

L’andante du Soleil

LES TAMBOURS se sont tus et, de l’extérieur, on ne les entend plus ; c’est le silence qui règne dans le jardin de la Car­toucherie, silence du théâtre qui,…

Par Georges Banu
Duccio Bellugi-Vannuccini et Jeremy James dans LES ÉPHÉMÈRES, création collective du Théâtre du Soleil, mise en scène Ariane Mnouchkine, Cartoucherie Théâtre du Soleil, Paris, 2006. Photo Martine Franck, Agence Magnum.

Jeux théâtraux et enjeux de société

« Madame je ne suis pas ce que je joue » Shake­speare, LA NUIT DES ROIS LE TRAVESTISSEMENT sur la scène n’a rien d’une pra­tique récente, il remonte aux Grecs ou aux élis­abéthains mais, depuis quelques siè­cles, il a été mar­gin­al­isé, voire ban­ni de la scène au nom d’une adéqua­tion sex­uelle entre le per­son­nage et le comé­di­en, cau­tion d’une « vérité » scénique dont le théâtre ne devait pas se dépar­tir. Le trav­es­tisse­ment fut con­sid­éré comme étant con­traire à cette esthé­tique de l’organique que…

Par Georges Banu
Kazuo Ohno dans LA ARGENTINA.

Avignon 2006 : un festival libre

Il y a des métaphores au souf­fle long et Heinz Wis­mann en a pro­posé une cet été : celle des spec­ta­teurs qui, chaque année, se diri­gent vers Avi­gnon…

Par Georges Banu
Miquel Barcelé dans PASO DOBLE de Josef Nadj, Église des Célestins, Avignon, juillet 2006. Photo Rémi Nicolas.

Héritiers d’une histoire en mouvement

Entretien avec Vincent Baudriller et Hortense Archambault

Alter­na­tives théâ­trales : Ce qui frappe dans l’édition de cette année, c’est la réu­nion de toutes les généra­tions du théâtre. Des gens très jeunes jusqu’à Peter Brook. Il y…

Par Bernard Debroux et Georges Banu
Affiche du 60e Festival d'Avignon. Conception de la photographie: Josef Nadi. Photo Christophe Raynaud de Lage pour le Festival d'Avignon.

Pannes de mémoire et espoirs techniques

De l’ailleurs le théâtre éprou­va l’attrait à retarde­ment, bien après la pein­ture ou la musique, mais lorsqu’il se pro­duisit il eut le pou­voir d’une défla­gra­tion. Un nou­v­el hori­zon,…

Par Georges Banu

L’Afrique, un monde à soi

À FORCE de la fréquenter, Brook a érigé l’Afrique en un monde à soi. Il s’y sent bien, il aime cette com­mu­ni­ca­tion qui s’installe autour d’une nat­te, cette…

Par Georges Banu

Le retour, défi du fils prodigue

TOUTE QUÊTE D’AILLEURS est polémique. Issue d’un besoin de rup­ture et d’un scep­ti­cisme à l’é­gard du lieu d’origine. « La vie est ailleurs », adage célèbre ! Des aven­turi­ers et…

Par Georges Banu
Le géographe (1871), Henri De Braekeleer. Musée royaux des Beaux- Arts de Belgique, Bruxelles.

Se découvrir en travaillant

Entretien avec Andrei Serban

Georges Banu : Com­ment as-tu décou­vert Priscil­la Smith ? Pre­mière ren­con­tre : sur scène, au tra­vail, lors d’une audi­tion… ? Andrei Ser­ban : Fraîche­ment arrivé à New York,…

Par Georges Banu

Jouer l’essence et non pas l’apparence

GEORGES BANU : Com­ment le met­teur en scène a‑t-il décou­vert l’acteur ? DAVID ESRIG : Ma pre­mière ren­con­tre avec Ghe­o­rghe Dini­ca ne sem­blait pas se plac­er sous un…

Par Georges Banu

Un héros des temps modernes

« Il importe de faire un pacte avec son âme. Et de s’y tenir loyalement.Ne souriez pas trop de la grav­ité de mes paroles. Vous n’avez pas à…

Par Georges Banu
Gérard Philipe et Maria Casarès dans LE Cm de Corneille, mise en scène Jean Vilar, Avignon, 1958. Photo Agnès Varda, Agence Enguerand.

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