La mesure de la diversité
Entretien
Théâtre

La mesure de la diversité

Entretien avec Karine Gloanec-Maurin

Le 10 Juil 2017
Article publié pour le numéro
Couverture du numéro 133 - Quelle diversité culturelle sur les scènes européennes?
133
Article fraîchement numérisée
Cet article rejoint tout juste nos archives. Notre équipe le relit actuellement pour vous offrir la même qualité que nos éditions papier. Pour soutenir ce travail minutieux, offrez-nous un café ☕

 

Il est d’usage aujourd’hui de cri­ti­quer les théâtres publics au motif de leur inca­pac­ité à inté­gr­er la diver­sité cul­turelle de nos sociétés mul­ti­cul­turelles. Existe-t-il, selon vous, un prob­lème spé­ci­fique d’accès des artistes issus de l’immigration aux scènes européennes ?

Karine Gloanec-Mau­rin : Mal­gré les valeurs portées par le secteur cul­turel sur la diver­sité et la mul­ti­cul­tur­al­ité, nous pou­vons faire le con­stat que la société française n’est pas représen­tée dans toutes ses dimen­sions, ni sur les plateaux des scènes français­es, ni dans les équipes des théâtres nationaux. Il s’agit peut-être d’une spé­ci­ficité française qui est à met­tre en rela­tion avec l’impossibilité de faire des sta­tis­tiques eth­niques, ce qui ne per­met pas d’inclure la diver­sité en ter­mes chiffrés dans les con­trats d’objectifs et de moyens des étab­lisse­ments cul­turels.

Le Col­lège de la diver­sité a tra­vail­lé en référence à l’enquête « Tra­jec­toires et Orig­ines » réal­isée par l’INSEE et l’INED en 2009, coécrite par Patrick Simon, Cris Beau­chemin et Chris­telle Hamel et pré­facée par François Héran. Avec l’autorisation des auteurs, il a été con­venu de pou­voir utilis­er leurs don­nées pour com­par­er la pho­togra­phie de la diver­sité en France con­tenue dans cette enquête avec celle du min­istère et de tout le secteur cul­turel, c’est-à-dire de retenir le chiffre de 30 % comme étalon moyen.

Les échanges avec le Départe­ment des Études, de la prospec­tive et des sta­tis­tiques du min­istère de la Cul­ture et de la Com­mu­ni­ca­tion per­me­t­tent le même con­stat. Le DEPS pour­rait ain­si com­man­der une étude sur ces bases sta­tis­tiques et inté­gr­er la diver­sité à son pro­gramme général.

La ques­tion de la mesure de la diver­sité est donc une ques­tion com­plexe au vu des posi­tions par­fois con­tra­dic­toires sur les sta­tis­tiques eth­niques qu’il faut s’autoriser à abor­der dans le respect du droit.

Com­ment sor­tir d’un sys­tème de dis­tri­b­u­tion où les comé­di­ens issus de l’immigration sont le plus sou­vent relégués à des rôles sub­al­ternes, ou pire, à des rôles les con­duisant à sur­jouer les stéréo­types eth­niques ou raci­aux imposés par la société ?

Karine Gloanec-Mau­rin : Cette ques­tion est sou­vent évo­quée par un grand nom­bre d’artistes issus de la diver­sité, et elle mérite d’être posée. Beau­coup d’efforts ont été faits dans le domaine du ciné­ma et de l’audiovisuel, avec notam­ment l’action volon­taire du CNC avec la com­mis­sion Images de la diver­sité crééé en 2005, de la Fémis avec des dis­posi­tifs d’accès aux jeunes éloignés de la cul­ture et de la Ciné­Fab­rique ou celle de « 1000 vis­ages », asso­ci­a­tion fondée par Hou­da Benyam­i­na qui œuvre pour l’initiation pro­fes­sion­nelle aux métiers du ciné­ma pour les jeunes issus de quartiers pop­u­laires. La créa­tion par France Télévi­sion d’un guide des experts de la diver­sité « ExpertisePlus.fr », à la con­cep­tion duquel le min­istère de la Cul­ture a été asso­cié, est un out­il volon­tariste pour don­ner à voir tous les vis­ages de la société française sur les plateaux télévisés. Sor­tir du stéréo­type du noir délin­quant ou de l’arabe deal­er des quartiers est impératif pour inté­gr­er la diver­sité comme l’évidente tra­duc­tion de toutes les caté­gories sociales de notre société.

Le théâtre est para­doxale­ment moins vertueux. Il faut cepen­dant met­tre en avant l’action volon­taire de cer­tains met­teurs en scène tels que David Bobée, Has­san Kouy­até, Moïse Touré et bien d’autres. Je pense aus­si par exem­ple à la démarche de Mar­gaux Eske­nazi, fon­da­trice de la Com­pag­nie Nova, pour qui l’objectif de diver­sité sur le plateau se con­jugue avec la diver­sité dans la répar­ti­tion des rôles, et pour qui il con­vient de dis­tribuer les rôles pour servir la   dra­maturgie en fonc­tion du tal­ent et non pas unique­ment en fonc­tion de la cor­re­spon­dance physique avec le per­son­nage.

Le théâtre souf­fre-t-il d’une forme d’inconscient cul­turel colo­nial ? 

Karine Gloanec-Mau­rin : Mal­gré la spé­ci­ficité du secteur cul­turel, porté vers la tolérance et l’ouverture aux autres, les con­stats d’inégalités ou de dis­crim­i­na­tion sont encore trop fréquents. Existe-t-il « un racisme d’omission ou d’oubli », comme le for­mule David Bobée ? Les actions vertueuses sont pour­tant nom­breuses et sou­vent soutenues par l’action publique, fruit de la volon­té d’artistes ou d’acteurs cul­turels insti­tu­tion­nels ou asso­ci­at­ifs dans le spec­ta­cle vivant.

Pour éviter cela, il serait néces­saire de pro­mou­voir l’inscription des thèmes relat­ifs à la mémoire, l’histoire de la coloni­sa­tion, de l’esclavage dans le par­cours d’éducation artis­tique et cul­turel en lien avec le min­istère de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Com­ment élargir le recrute­ment des lieux de for­ma­tion aux métiers de la scène et du plateau, sans pour autant tomber dans les tra­vers et effets per­vers d’une poli­tique volon­tariste ?

Karine Gloanec-Mau­rin : Pour élargir le recrute­ment des lieux de for­ma­tion aux métiers de la scène et du plateau, il con­vient d’accompagner les actions vertueuses d’accès des jeunes issus de la diver­sité aux for­ma­tions supérieures artis­tiques, par des pro­grammes d’égalité des chances et des class­es pré­para­toires inté­grées. Suites aux pré­con­i­sa­tions du Col­lège de la diver­sité, le min­istère de la Cul­ture a prévu d’inscrire un finance­ment fléché dans le pro­jet de loi de finances 2018 pour accom­pa­g­n­er ces actions vertueuses.

Le Col­lège de la diver­sité a audi­tion­né neuf écoles nationales d’art qui ont présen­té leurs ini­tia­tives en faveur d’un accès plus large des jeunes éloignés de la cul­ture dans leurs étab­lisse­ments. Le con­stat est extrême­ment encour­ageant car les équipes de direc­tion ont toutes inté­gré cette ques­tion dans leurs pro­jets d’établissements.

Par exem­ple, Stanis­las Nordey, directeur du Théâtre Nation­al de Stras­bourg, a ini­tié avec le Cen­tre de Développe­ment Choré­graphique de Greno­ble et La Colline – Théâtre Nation­al le pro­gramme d’ateliers d’acteurs Ier Acte, qui s’adresse à des jeunes acteurs ayant, dans leur par­cours artis­tique, pro­fes­sion­nel ou per­son­nel, fait l’expérience de la dis­crim­i­na­tion. Ce pro­jet béné­fi­cie du sou­tien des Fon­da­tions Edmond de Roth­schild et de la Fon­da­tion SNCF. Il faut égale­ment citer égale­ment la Comédie de Saint-Eti­enne qui donne depuis longtemps une place à la diver­sité dans ses pro­mo­tions ain­si que le Con­ser­va­toire Nation­al Supérieur d’Art Dra­ma­tique.

Quels sont, selon vous, les leviers par lesquels est sus­cep­ti­ble de s’opérer la pro­mo­tion d’artistes issus de cul­tures minorées ?

Karine Gloanec-Mau­rin : C’est par le partage d’expériences et la pro­mo­tion de la diver­sité dans le secteur que l’on peut espér­er don­ner plus de place aux artistes issus de cul­tures minorées.

Le min­istère de la Cul­ture peut agir par le biais de sa poli­tique de con­trac­tu­al­i­sa­tion : les con­trats d’objectifs et de moyens et les cahiers des charges intè­grent déjà sans les chiffr­er des objec­tifs de pro­mo­tion de la diver­sité des per­son­nes comme des pra­tiques, dans le respect de la loi.

Le secteur théâ­tral lui-même peut agir. L’appel à tous les directeurs de théâtre lancé en jan­vi­er 2016 par le col­lec­tif « Décolonis­er les Arts », représen­té par David Bobée, mem­bre du Col­lège de la Diver­sité, se man­i­feste très claire­ment en faveur des sta­tis­tiques eth­niques. Ce col­lec­tif demande au min­istère de label­lis­er « Diver­sité » les insti­tu­tions de for­ma­tions artis­tiques vertueuses dans ce domaine.

Qu’en est-il de la diver­sité cul­turelle dans le recrute­ment, non plus seule­ment des artistes dont les insti­tu­tions théâ­trales sont sup­posées faire la pro­mo­tion, mais des équipes admin­is­tra­tives, tech­niques et artis­tiques des théâtres ou des lieux de spec­ta­cle ?

Karine Gloanec-Mau­rin : La diver­sité cul­turelle des équipes admin­is­tra­tives, tech­niques et artis­tiques des théâtres et lieux de spec­ta­cle est une thé­ma­tique dont le min­istère s’est saisi en déposant en avril 2017 sa can­di­da­ture au dou­ble label AFNOR Diver­sité et Egal­ité. Le min­istère est ain­si soumis à une procé­dure d’audit et d’évaluation fondée sur un cahi­er des charges, inclu­ant la prise en compte de la diver­sité et/ou de l’é­gal­ité pro­fes­sion­nelle dans la ges­tion des ressources humaines et la gou­ver­nance. Quinze étab­lisse­ments publics se por­tent égale­ment can­di­dats en par­al­lèle du min­istère et ces can­di­da­tures per­me­t­tront assuré­ment de faire évoluer la sit­u­a­tion actuelle.

Pourquoi les salles de spec­ta­cles sont-elles si homogènes sur le plan eth­nique ? Com­ment diver­si­fi­er aus­si les spec­ta­teurs ?

Karine Gloanec-Mau­rin : C’est une remar­que récur­rente : la majorité de têtes blanch­es dans les salles de spec­ta­cle (vis­ages et cheveux…) inter­roge en effet. Mais bien sou­vent la ques­tion se pose dif­férem­ment dès lors que le plateau accueille aus­si la diver­sité. Ce con­stat a été claire­ment exprimé lors des groupes de tra­vail du Col­lège de la diver­sité et c’est pour cette rai­son qu’il est essen­tiel de con­sid­ér­er glob­ale­ment l’effort de représen­ta­tion de toute la société, dans les équipes, dans la pro­gram­ma­tion et dans les salles.

En con­clu­sion, il s’agit de porter avec le théâtre les fon­da­men­taux d’une vision de notre société.

La cul­ture est le fonde­ment et le fer­ment de la démoc­ra­tie. Parce qu’elle par­ticipe à l’émancipation, la dig­nité et l’épanouissement des per­son­nes, elle a tou­jours été placée au cœur de notre pro­jet répub­li­cain. C’est cette vision même de la cul­ture que vous ques­tion­nez à tra­vers l’art théâ­tral pré­cisé­ment parce qu’elle est le socle du vivre ensem­ble.

À l’heure où la ten­ta­tion du repli sur soi, sur des iden­tités figées, devient une men­ace réelle, il est cru­cial et urgent que notre poli­tique cul­turelle s’in­ter­roge non seule­ment sur ce qui fait depuis longtemps sa grandeur, sa générosité, son ray­on­nement, mais aus­si sur des principes et des modes de fonc­tion­nement qui ont pu pro­duire des sen­ti­ments d’exclusion. Si la sen­si­bil­i­sa­tion – à tra­vers notam­ment la poli­tique en faveur de l’éducation artis­tique et cul­turelle – et la démoc­ra­ti­sa­tion – et l’accès de tous aux œuvres et aux pra­tiques artis­tiques – restent les dimen­sions fon­da­tri­ces de la poli­tique nationale en faveur de la cul­ture, celle-ci doit néces­saire­ment pren­dre en compte la diver­sité des expres­sions, des ter­ri­toires et en pri­or­ité des per­son­nes. L’enjeu est fon­da­men­tal. Il s’agit de déjouer les injonc­tions autant que de dénouer les mécan­ismes d’assignation. Et pour cela, il con­vient d’en­vis­ager la notion de « cul­ture » au-delà et plus large­ment que la seule notion d’expression artis­tique. Parce qu’il est essen­tiel, comme l’a souligné Fleur Pel­lerin, lorsqu’en tant que min­istre elle a créé le Col­lège de la Diver­sité, que la scène cul­turelle et artis­tique française soit « le reflet de la richesse de la diver­sité de notre société, et non le miroir de nos blocages ».

Dès les années 1980, avec la forte impul­sion don­née au min­istère de la Cul­ture par le Prési­dent de la République François Mit­ter­rand et son min­istre Jack Lang, la pro­mo­tion du « droit à la dif­férence », un principe défi­ni comme le droit de chaque indi­vidu à la recon­nais­sance de son iden­tité cul­turelle, per­met à la fois la diver­si­fi­ca­tion de la créa­tion artis­tique (cirque, arts de la rue, jazz, rock, musiques anci­ennes et tra­di­tion­nelles, bande dess­inée, mode…) et l’ouverture sig­ni­fica­tive aux cul­tures et aux créa­teurs étrangers. « C’est bless­er un peu­ple au plus pro­fond de lui-même que de l’atteindre dans sa cul­ture ou dans sa langue »1.

Cette pro­mo­tion de la diver­sité et du plu­ral­isme cul­turel a con­duit la France à deman­der, au niveau inter­na­tion­al et plus encore européen, le retrait de tous les biens cul­turels et œuvres de l’esprit des accords de l’OMC, par la défense farouche de l’exception cul­turelle. Dans le même temps, le con­cept de diver­sité rap­prochait « la notion de cul­ture de sa déf­i­ni­tion anthro­pologique comme modes de vies con­sti­tu­tifs de la sin­gu­lar­ité nationale. La cul­ture n’est plus alors lim­itée à la vie des arts »2.

Le théâtre s’est aus­si impliqué dans cette démarche d’accès plus large notam­ment par les arts de la rue et la réflex­ion sur l’art dans l’espace pub­lic. Cette vul­gar­i­sa­tion n’éloigne pas les acteurs cul­turels de l’exigence du sens que porte le geste artis­tique. L’enjeu ne doit pas être un frein mais une forme adap­tée à notre société. Mais la créa­tion artis­tique théâ­trale con­tem­po­raine fait encore trop peu appel à la richesse de la diver­sité…

Depuis tant d’années, s’est dévelop­pé un désir fes­tif autour des man­i­fes­ta­tions cul­turelles. Le foi­son­nement du nom­bre de fes­ti­vals, les fêtes dev­enues des évène­ments incon­tourn­ables pour la vie cul­turelle « fête de la musique, journées européennes du pat­ri­moine, nuit européenne des musées, nuit de la lec­ture, journées nationales de l’archéologie … ».

Ce retour dans le temps per­met de con­sid­ér­er que la pro­mo­tion de la diver­sité est un sujet ancien dans l’histoire des poli­tiques cul­turelles et il explique aus­si l’inscription récente de la lib­erté de créa­tion comme des droits cul­turels dans la loi3, qui vient ren­forcer le droit au respect de la dig­nité de la per­son­ne et à son éman­ci­pa­tion et et pose pour les étab­lisse­ments label­lisés la mis­sion de dévelop­per l’accès aux œuvres et la par­tic­i­pa­tion du plus grand nom­bre à la vie cul­turelle comme une con­di­tion de l’exercice de la lib­erté.

.

Ces dif­férentes inscrip­tions dans la loi sont une réelle avancée, elles doivent être accom­pa­g­nées d’une volon­té poli­tique. Mal­gré la spé­ci­ficité du secteur cul­turel, porté vers la tolérance et l’ouverture aux autres, les con­stats d’inégalités ou de dis­crim­i­na­tion sont encore trop fréquents. Existe-t-il un racisme d’omission ou d’oubli ?4 Les actions vertueuses sont pour­tant nom­breuses et sou­vent soutenues par l’action publique, fruit de la volon­té d’artistes ou d’acteurs cul­turels insti­tu­tion­nels ou asso­ci­at­ifs dans le spec­ta­cle vivant, la lec­ture, le pat­ri­moine ou les médias. Il faut donc val­oris­er une action cul­turelle riche en pro­jets de toutes natures en faveur de l’émergence de la créa­tion artis­tique, de l’éducation artis­tique et cul­turelle, de l’action auprès des habi­tants. Ce besoin de recon­nais­sance a été forte­ment exprimé lors des échanges organ­isés au sein du Col­lège de la Diver­sité car le tra­vail de médi­a­tion, d’action cul­turelle ou d’éducation artis­tique et cul­turelle a un rôle essen­tiel dans la poli­tique publique.

Un livre blanc présente la mis­sion du Col­lège de la Diver­sité, le tra­vail effec­tué pen­dant une année par ses mem­bres et le chem­ine­ment de la pen­sée qui a con­duit aux recom­man­da­tions de celui-ci. Il présente les con­stats et les pré­con­i­sa­tions avec l’espoir que toutes les actions nou­velles du min­istère de la Cul­ture et de la Com­mu­ni­ca­tion soient effi­cientes pour une véri­ta­ble lutte con­tre toute forme de dis­crim­i­na­tion et d’inégalité au sein de l’institution comme au cœur du secteur cul­turel dans son ensem­ble. Per­son­ne ne saurait sup­port­er que la cul­ture sous toutes ses formes ne soit pas le fer­ment du lien social indis­pens­able à la tolérance et l’égalité entre les peu­ples et que ce min­istère n’en soit pas le pre­mier porte-parole.

Pro­pos recueil­lis par Mar­tial Poir­son et Sylvie Mar­tin-Lah­mani

Plusieurs des entretiens menés sur cette thématique sont disponibles en libre accès dans le numéro #133 d’Alternatives théâtrales, Quelle diversité sur les scènes européennes ?. 

  1. François Mit­ter­rand, dis­cours de Lori­ent, 14 mars 1981 ↩︎
  2. « Dire la France » de Vin­cent Mar­tigny, p.161 ↩︎
  3. Arti­cle 103- LOI n° 2015 – 991 du 7 août 2015 por­tant nou­velle organ­i­sa­tion ter­ri­to­ri­ale de la
    République
    Arti­cle 3 — LOI n° 2016 – 925 du 7 juil­let 2016 rel­a­tive à la lib­erté de la créa­tion, à l’ar­chi­tec­ture et au
    pat­ri­moine ↩︎
  4. Inter­view de David Bobée – 4 mars 2017 dans Scèneweb – par Stéphane Capron ↩︎
Entretien
Théâtre
41
Partager
Écrit par Sylvie Martin-Lahmani
Pro­fesseure asso­ciée à la Sor­bonne Nou­velle, Sylvie Mar­tin-Lah­mani s’intéresse à toutes les formes scéniques con­tem­po­raines. Par­ti­c­ulière­ment atten­tive aux...Plus d'info
Partagez vos réflexions...

Vous aimez nous lire ?

Aidez-nous à continuer l’aventure.

Votre soutien nous permet de poursuivre notre mission : financer nos auteur·ices, numériser nos archives, développer notre plateforme et maintenir notre indépendance éditoriale.
Chaque don compte pour faire vivre cette passion commune du théâtre.
Nous soutenir
Précédent
Suivant
Article publié
dans le numéro
Couverture du numéro 133 - Quelle diversité culturelle sur les scènes européennes?
#133
mai 2025

Quelle diversité culturelle sur les scènes européennes ?

18 Juil 2017 — Bernard Debroux a vu le spectacle d'ouverture du 71e Festival d'Avignon.

Bernard Debroux a vu le spec­ta­cle d’ou­ver­ture du 71e Fes­ti­val d’Av­i­gnon.

Par Bernard Debroux
Précédent
10 Juil 2017 — Suite de notre série consacrée aux défis de la diversité culturelle (en préambule à la sortie du #133 à l’automne…

Suite de notre série con­sacrée aux défis de la diver­sité cul­turelle (en préam­bule à la sor­tie du #133 à l’automne prochain) : entre­tien avec Guy Cassiers, met­teur en scène et directeur du Toneel­huis d’An­vers.

Par Christian Jade
La rédaction vous propose

Bonjour

Vous n'avez pas de compte?
Découvrez nos
formules d'abonnements

Mot de passe oublié ?
Mon panier
0
Ajouter un code promo
Sous-total