Les Suppliants face à l’apocalypse : un théâtre de la mise à nudes êtres sur une terre nue

Les Suppliants face à l’apocalypse : un théâtre de la mise à nudes êtres sur une terre nue

Le 16 Nov 2008

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Couverture du nUméro 99 - Expérience de l'extrême
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« Écris donc ce que tu as vu, ce qui est, et ce qui doit arriv­er ensuite »

(Apoc­a­lypse selon Saint-Jean, chapitre 1, ver­set 19)

Par­mi tous les événe­ments de la fin du XXᵉ siè­cle qui sont couram­ment évo­qués par les essay­istes et his­to­riens des idées comme mar­queurs chronologiques de la « fin des idéolo­gies », de la « fin de l’Histoire », de la « fin » de la croy­ance aveu­gle dans les sci­ences et la notion de pro­grès, ou plus sim­ple­ment, de la fin d’un monde, la cat­a­stro­phe de Tch­er­nobyl n’a sans doute pas été autant citée qu’elle aurait dû l’être. Plus de vingt ans se sont écoulés depuis que qua­tre cent cinquante types de radionu­cléides dif­férents se sont répan­dus sur notre terre à la suite d’une explo­sion équiv­a­lente à trois cent cinquante bombes d’Hiroshima. Ouver­tures de la jarre de Pan­dore ou des sceaux des cav­a­liers de l’Apocalypse, on ne compte plus depuis les images emprun­tées aux textes anciens ou aux Écri­t­ures saintes pour ten­ter de décrire la quan­tité de poi­son déver­sé du trou béant ouvert par la pul­véri­sa­tion du toit du qua­trième réac­teur de la cen­trale ukraini­enne.

Dans un monde qui avait jusqu’alors cru assis­ter à la vic­toire du ratio­nal­isme, le texte de l’Apocalypse de Jean était de nou­veau con­vo­qué par de nom­breux obser­va­teurs pour associ­er Tch­er­nobyl de façon sym­bol­ique aux pre­miers signes du châ­ti­ment divin. La cat­a­stro­phe sem­blait pour eux con­sacr­er la renais­sance de Dieu aus­si bien que l’avènement du « roy­aume de l’amertume », ce qu’ils cher­chaient à démon­tr­er en s’appuyant sur l’étymologie du mot Tch­er­nobil­nik : sig­nifi­ant juste­ment « armoi­se » (une espèce de plantes dont l’une des var­iétés est l’absinthe), le nom même du site de la cen­trale rap­pelait que dans les Écri­t­ures saintes, ce terme avait été asso­cié à la mort, aux épreuves et aux cha­grins de la vie.

La prophétie, qui avait promis qu’un grand astre, brûlant comme une torche, per­cuterait la Terre, changeant le tiers des fleuves et des sources en « eaux amères », révo­quait en doute l’immortalité du genre humain. Elle s’était sub­sti­tuée à l’idée que chez les anciens, le nom latin com­mun à toutes les armoi­ses avait été relié à celui de la déesse Artémis, maîtresse et pro­tec­trice des bêtes fauves et d’une nature sauvage à défendre con­tre l’atteinte des hommes. Et en effet, dans la zone inter­dite des trente kilo­mètres autour de la cen­trale, la nature repre­nait main­tenant ses droits sur les folles con­struc­tions des hommes. À cet endroit, où les san­gliers se reposent main­tenant près d’anciens poêles et où les arbres crèvent les planch­ers d’anciens salons vidés de leurs habi­tants, le monde ne sem­ble pas se porter plus mal en con­tin­u­ant à tourn­er sans l’espèce humaine.

Ce qui « nous » arrive

Le début de la cat­a­stro­phe pou­vait être pré­cisé­ment daté au 26 avril 1986 à 1h26 du matin, date et heure de l’explosion du réac­teur, et l’on ne lut pas depuis un seul arti­cle omet­tant de rap­pel­er le fait, comme pour soulign­er qu’elle apparte­nait bien au passé. Or, pour la pre­mière fois dans l’histoire de l’humanité, il était juste­ment impos­si­ble d’en prévoir la fin, à moins de reléguer celle-ci dans un futur de plusieurs cen­taines d’années en se fon­dant, par exem­ple, sur des critères aus­si fan­tas­tiques que celui de la durée de vie du plu­to­ni­um. D’autres ont mon­tré qu’en Biélorussie, pays le plus directe­ment et immé­di­ate­ment touché par les retombées radioac­tives, Tch­er­nobyl avait été très tôt com­paré à un arbre qui pousse et qui n’en finit pas de pouss­er1. De fait, la cat­a­stro­phe de Tch­er­nobyl, avec son lot de mal­adies et de muta­tions, est tou­jours en cours.

Ce que l’urbaniste et essay­iste Paul Vir­ilio a qual­i­fié « d’accident de la con­nais­sance » s’était toute­fois pro­duit ailleurs et dans un autre temps. Un « ailleurs » qu’on préfère encore sou­vent localis­er en Ukraine, en dépit de la quan­tité de mesures ayant depuis mon­tré que Tch­er­nobyl était l’affaire du monde entier. Un temps qui, comme le notait par­al­lèle­ment l’écrivaine rus­so­phone de Biélorussie, Svet­lana Alex­ievitch, avait pris une dimen­sion nou­velle pour se trans­former en éter­nité, comme si la fin et le com­mence­ment avaient choisi de se ren­con­tr­er2.

Pour le reste de l’Europe, et pen­dant longtemps, Tch­er­nobyl ne fut toute­fois asso­cié à aucun proces­sus de « mise à nu » ou de « révéla­tion ». La « lev­ée du voile » fut plutôt dévolue, trois années plus tard, à la chute du mur de Berlin : espoir immense pour les uns, dés­espoir infi­ni pour les autres. L’URSS n’allait bien­tôt plus être et l’Europe en resterait boulever­sée. Con­fron­tée à l’histoire de son si « court » mais si sanglant XXᵉ siè­cle, elle se voy­ait mise en demeure de penser les inter­ac­tions entre his­toire du nazisme et du com­mu­nisme, entre essen­tial­isme et marx­isme, comme de rétablir la vérité sur les men­songes par omis­sion de trop de ses intel­lectuels et dirigeants acquis à la cause du pro­grès à tout et à n’importe quel prix.

La chute du mur de Berlin et la fin de l’URSS étaient ain­si de ces con­séquences qui fai­saient oubli­er les caus­es : une cat­a­stro­phe ingérable à tous les points de vue s’était pro­duite, qui ne sem­blait pou­voir trou­ver aucune solu­tion économique, poli­tique ou san­i­taire. Elle avait signé la restau­ra­tion d’une économie de guerre à l’échelle de l’URSS, précé­dant le mor­celle­ment d’un empire, le retour des blind­és dans les rues, l’évacuation néces­saire­ment for­cée de cen­taines de mil­liers de per­son­nes, la mobil­i­sa­tion de mil­liers de sol­dats et de « liq­ui­da­teurs » pour ten­ter de vain­cre l’atome, l’univers, et éviter qu’une sec­onde explo­sion nucléaire, bien plus impor­tante, ne nous con­duise à ray­er la majeure par­tie de l’Europe des cartes de géo­gra­phie3.

Nul ne pen­sait alors à ces cen­taines de mil­liers de Sovié­tiques qui s’étaient sac­ri­fiés pour péren­nis­er l’idée de notre immor­tal­ité en tant qu’espèce. Nul ne témoignait de la souf­france de ceux qui avaient vu chars et pel­leteuses ras­er sous leurs yeux et sans autre forme de procès leur mai­son, avant de se laiss­er entass­er dans des bus pour être arrachés manu mil­i­tari à la con­t­a­m­i­na­tion. Nul ne men­tion­nait les mil­liers d’animaux haute­ment radioac­t­ifs fusil­lés à la kalach­nikov, les mètres cubes de terre enter­rés dans la terre, les trois mille deux cent vingt et un vil­lages de Biélorussie con­t­a­m­inés ou « per­dus ». Deux mil­lions et demi de per­son­nes étaient encore con­traintes de con­tin­uer à vivre dans la con­t­a­m­i­na­tion pour éviter, selon les ter­mes d’un diplo­mate en poste à Min­sk en 2001, « de trop désta­bilis­er le limon économique local ». Dans cer­tains vil­lages désor­mais coupés du monde, elles devaient appren­dre à laver l’eau, à net­toy­er les bûch­es, à cul­tiv­er leur champ à la faux, à réin­ven­ter la roue et à se sat­is­faire de la soli­tude.

Nul ne soulig­nait alors que la défec­tion du nucléaire civ­il con­dui­sait juste­ment l’humanité à « faire avec » la con­t­a­m­i­na­tion tout en réap­prenant à vivre à la bougie ; qu’il était inutile d’introduire un rap­port de cause à con­séquence entre la néces­sité de se chauf­fer et l’obligation de courir le risque d’être con­t­a­m­iné (comme en témoignent encore cer­tains dis­cours sur le nucléaire comme « instru­ment de civil­i­sa­tion »). Trop peu de voix enfin s’élevaient pour cri­ti­quer le fait que la ges­tion d’une cat­a­stro­phe nucléaire, y com­pris civile, ne sup­por­t­ait pas la démoc­ra­tie et, par voie de con­séquence, ne sup­por­t­ait pas le théâtre4. C’est que l’absinthe est aus­si une plante dont l’usage fut large­ment répan­du, à dater du XVIIIᵉ siè­cle, pour provo­quer l’oubli, sous la forme d’une bois­son à laque­lle on don­na le nom coquet de « fée verte » mais qui, con­som­mée à trop fortes dos­es, rendait aveu­gle.

Les pre­miers sup­pli­ants

Le livre qui témoigna le mieux de notre aveu­gle­ment et de notre impuis­sance, et que nul n’est depuis par­venu à sur­pass­er, n’avait pas été écrit par un spé­cial­iste du nucléaire cher­chant à expli­quer la radioac­tiv­ité aux igno­rants. Il s’agissait de ce qu’on appela plus tard un « roman de voix », mais de ce qu’on appelait plus sim­ple­ment alors un roman doc­u­men­taire. Une voix artis­tique autant qu’isolée s’était élevée dans le « silence hurlant » qui avait suc­cédé à la cat­a­stro­phe, pour abor­der la ques­tion sur le ter­rain du sen­si­ble. La prière de Tch­er­nobyl. Chroniques du futur (Černobyl’skaja molit­va. Xroni­ka budušcego)5 de Svet­lana Alex­ievitch fut toute­fois traduite en français par son édi­teur sous le titre La Sup­pli­ca­tion. Chronique du monde après l’Apocalypse (Lat­tès, 1998) : une tra­duc­tion qui pre­nait le con­tre-pied de la thèse de l’auteure, pour qui l’apocalypse ne fai­sait juste­ment que com­mencer, et qui util­i­sait le témoignage6 comme procédé per­me­t­tant d’écrire sur ce qui avait été, était et allait être.
C’est ce livre qui allait notam­ment per­me­t­tre à Bruno Bous­sagol, met­teur en scène de la com­pag­nie Brut de béton pro­duc­tion, de dévelop­per et d’appliquer au théâtre le con­cept de « mémoire du futur » dans sa mise en scène d’Ele­na (2001). L’actrice Nathalie Van­nereau adres­sait au pub­lic le pre­mier mono­logue de La Prière…, les deux pieds ancrés dans un jardin japon­ais minia­ture, sous une sculp­ture gigan­tesque de fibres et d’acier sus­pendue au-dessus de sa tête comme une épée de Damo­clès.

Comme l’a mon­tré Bruno Bous­sagol, dans sup­pli­ca­tion, il y a « sup­plice » : « Sup­plice est pour moi un des quelques mots promet­teurs qui ouvrent la jarre de Pan­dore. J’ai lu, dévoré même — comme on dit d’un livre qui vous séduit — cette prose si sin­gulière qui vous propulse dans l’hyper-modernité, mais para­doxale­ment en vous ramenant à l’archaïsme des sen­ti­ments. J’ai lu et relu. Je n’en croy­ais pas mes yeux ! Quelque chose d’important se pas­sait là, à portée de main, qui venait bar­rer le flux de la lit­téra­ture con­tem­po­raine. Un auteur (ici une auteure) avait donc, en amont de ma lec­ture, durant des années d’élaboration, con­stru­it un “objet lit­téraire” qui venait répon­dre à de graves ques­tions rel­a­tives à l’humanité, à l’art, à l’amour, à la vérité. Et c’était par la lit­téra­ture que cela pas­sait, plutôt que par la sci­ence, la poli­tique ou la philoso­phie7. »

Dans La Sup­pli­ca­tion, le monde de l’après-catastrophe ne ressem­blait pour­tant en rien aux images que nous con­nais­sions d’Hiroshima. Loin de fig­ur­er le tableau som­bre et cen­dreux d’une terre dévastée cou­verte de ruines, il mon­trait une nature lux­u­ri­ante, à la végé­ta­tion anor­male­ment dévelop­pée et qui pou­vait laiss­er croire que même la mort était belle. Le livre ne racon­tait presque rien de l’explosion, sinon à la présen­ter comme un événe­ment de toute beauté ayant troué le ciel d’une colonne lumi­nes­cente rap­pelant les couleurs de l’arc-en-ciel8. On n’y appre­nait rien de ce qu’était un bec­quer­el, un micro-roent­gen, ni sur la manière de s’en pré­mu­nir ; rien n’y expli­quait quel type de radionu­cléide pou­vait provo­quer tel ou tel can­cer. Même les physi­ciens n’y par­laient plus de sci­ences.

Des témoins de la cat­a­stro­phe nous nar­raient l’avènement d’une guerre d’un type nou­veau qui ne por­tait pas son nom et qu’ils menaient au quo­ti­di­en avec une nou­velle fig­ure de l’ennemi. Invis­i­ble et inodore, celui-ci s’était répan­du, depuis le 26 avril 1986, dans tous les inter­stices de leur vie. Ils racon­taient sim­ple­ment ce que sig­nifi­ait vivre dans la con­t­a­m­i­na­tion. Était-il, par exem­ple, pos­si­ble de con­sid­ér­er que l’homme qu’on avait tant aimé, envoyé comme pom­pi­er sur le toit de la cen­trale et mourant de la « mal­adie aiguë des rayons », n’était plus qu’un réac­teur avec un haut degré de con­t­a­m­i­na­tion ? Était-il pos­si­ble de le laiss­er se dés­in­té­gr­er sans plus le touch­er ou l’embrasser ? Pou­vait-on encore jouer dans l’herbe, cro­quer une pomme, cul­tiv­er la terre et se nour­rir de ses fruits ? Devait-on net­toy­er la nature à l’eau et au savon ? Com­ment fait-on pour regarder son enfant mourir ? Com­ment fait-on pour se recueil­lir sur une tombe radioac­tive ? Quelle est alors la valeur de la mémoire, de la cul­ture ou de l’histoire ?

En dépit de la quan­tité de dis­cours qui rap­prochèrent le texte de la prob­lé­ma­tique de l’indicible et de l’irreprésentable, ces « voix », venues d’Ukraine et de Biélorussie, dis­aient. Leurs paroles intéressèrent immé­di­ate­ment le théâtre puisque, dans les deux années qui suivirent la paru­tion de la pub­li­ca­tion en français, plus d’une ving­taine de troupes se pro­po­saient déjà de l’adresser au pub­lic. L’engouement du théâtre pour ce texte fut plus large­ment européen, don­nant lieu à des représen­ta­tions et à des lec­tures de la France à l’Allemagne en pas­sant par la Suisse et même jusqu’au Japon. Par­al­lèle­ment, le livre, qui s’était ven­du en quelques semaines à une cen­taine de mil­liers d’exemplaires, con­t­a­m­i­nait les con­sciences en se trans­met­tant de main en main. Son texte com­mençait même à faire muter les œuvres de la dra­maturgie clas­sique au gré d’expériences où des bribes du texte de Svet­lana Alex­ievitch com­mençaient à infil­tr­er des mis­es en scène de Tchekhov ou de Shake­speare.

Viens et regarde

En France, La Sup­pli­ca­tion avait d’abord été mon­tée, sous son titre orig­i­nal, par la com­pag­nie cler­mon­toise Brut de béton pro­duc­tion dirigée par Bruno Bous­sagol. Lors d’une des pre­mières représen­ta­tions du texte en français dans les locaux de la friche Ect. Art (juin 1999), un spec­ta­teur perdit con­nais­sance et dut être évac­ué de la salle. Le texte n’était pas « indi­ci­ble ». Dit en toute sim­plic­ité, il était sim­ple­ment « iné­coutable », car c’est aus­si par­fois ce qui se pro­duit lorsque la mimé­sis fonc­tionne au théâtre. Alors com­ment fal­lait-il donc dire la banal­ité de l’horreur pour qu’elle reste audi­ble ?

À l’époque, la presse locale ne se las­sait pas de rap­pel­er que la mise en scène du texte ne devait pas con­trevenir aux règles de La Société du spec­ta­cle telle que l’avait définie Guy Debord. Plus générale­ment, on exigeait que La Sup­pli­ca­tion « fasse » spec­ta­cle, car pourquoi avait-on donc choisi de ne pas régler le tout en « 1 h 26 » à la manière d’un « coup de poing » ou d’une explo­sion nucléaire ? Ce que nous avions fait parais­sait trop triste, trop lent, trop long ; pas assez dynamique, pas assez visuel, pas assez « choc ». Pour beau­coup, ce n’était même pas ce que l’on pou­vait appel­er « du » théâtre. Des jour­nal­istes nous mon­traient quels étaient ceux de nos acteurs qui devaient être con­sid­érés comme meilleurs que leurs parte­naires. L’idée de tra­vailler l’éternité du temps dans la con­t­a­m­i­na­tion entrait en con­tra­dic­tion avec ces exi­gences de star­i­fi­ca­tion, qui nous con­frontaient à l’idée que toute recherche sur la notion de tragédie mod­erne s’avérait à plus d’un insup­port­able. Pour résumer et repren­dre une expres­sion de Bruno Bous­sagol, nous avons été d’emblée mis en demeure de faire comme si « la terre était encore car­rée »9. Pour « lever le voile », le théâtre a besoin de temps, et nous avons déjà mon­tré ailleurs ce que l’injonction de pré­cip­i­ta­tion devait au déni de la représen­ta­tion comme corol­laire de celui de réal­ité10.

Com­ment met­tre en scène l’apocalypse ?

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Écrit par Virginie Symaniec
Vir­ginie Symaniec est doc­teure de l’université, spé­cial­iste du théâtre biélorussien et chercheuse asso­ciée au Lab­o­ra­toire ARIAS. Elle a...Plus d'info
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