Les pouvoirs du théâtre 17 Nov 2007 — Entretien avec Lars Norén réalisé par Bernard Debroux Bernard Debroux : Que pensez-vous du pouvoir du théâtre face aux médias…Par Bernard Debroux
Journal (extraits) 16 Nov 2007 — 25 mars 2001 Me suis réveillé à six heures moins le quart puisqu’on est passé à l’heure de l’été. Angoisse…Par Lars Norén
Entre songe et réalisme 15 Nov 2007 — Comment Lars Norén est-il en tant que metteur en scène ? On pourrait répondre facilement à cette question en affirmant:…Par MARGARETA SÖRENSON
La dramaturgie de l’abandon ou comment procède Norén 14 Nov 2007 — Ce texte a été publié dans le programme de la pièce DÉTAILS (Dramaten, Le Théâtre Royal, Stockholm, 2003). Comment reconnaît-on…Par Arne Tjäder
Images de la mort. Ombres qui passent… 13 Nov 2007 — Texte rédigé par Katrin Ahlgren à partir d’un entretien avec Lars Norén et Claude Baqué (metteur en scène de la…Par Katrin Ahlgren
Jouer 20 novembre 12 Nov 2007 — Entretien avec Anne Tismer réalisé par Bernard Debroux Bernard Debroux : Tu joues dans LE 20 NOVEMBRE de Lars Norén…Par Bernard Debroux
Celui qui rend l’autre désertique devient lui-même un désert 11 Nov 2007 — Soit ACTE, la pièce de Lars Norén (L’Arche, 2003). Nous sommes presque à la fin, quand le personnage masculin dit:…Par Jean-Marie Piemme
Lucides, les fous ? À propos de KLINIKEN dans la mise en scène de Jean-Louis Martinelli 10 Nov 2007 — Grand prix du syndicat de la critique (meilleur spectacle théâtral de l’année 2007). « HEUREUX les simples d’esprit car le…Par Sylvie Martin-Lahmani
Le tombeau d’O’Neill ou des affinités électives 9 Nov 2007 — Après avoir traduit LE PÉLICAN d’August Strindberg, puis DÉMONS de Lars Norén, en collaboration avec Per Nygren, je travaillais à…Par Louis-Charles Sirjacq
Le testament d’Œdipe Un jeu avec des pions 23 Oct 2006 — Le testament d'Œdipe désignait comme ses successeurs sur le trône de Thèbes ses frères, les jumeaux Étéocle et Polynice, qui…Par Heiner Müller
Doppelkopf 22 Oct 2006 — Je porte ce projet en moi depuis vingt ans. J’avais égaré mes notes, mais je les ai retrouvées il y…Par Heiner Müller