Théâtre /Danse, l’alchimie unique de Pina Bausch
Hommage
Théâtre
Critique

Théâtre /Danse, l’alchimie unique de Pina Bausch

Brigitte Gauthier

Le 2 Juin 2010
Photo Guy Delahaye.
Photo Guy Delahaye.
Article publié pour le numéro
Couverture du numéro 105 - Théâtre-danse : la fusion ou rien !
105
Article fraîchement numérisée
Cet article rejoint tout juste nos archives. Notre équipe le relit actuellement pour vous offrir la même qualité que nos éditions papier. Pour soutenir ce travail minutieux, offrez-nous un café ☕

DANSER POUR VIVRE. Danser pour dire la vie. Danser pour faire l’his­toire. Danser pour imag­in­er la paix. Les choré­gra­phies de Pina Bausch recréent l’u­nivers. Elle a su fab­ri­quer une cos­mogo­nie. Ses oeu­vres ne se perçoivent pas de façon linéaire, comme une jux­ta­po­si­tion
chronologique mais bien plutôt comme des par­celles d’un tout organique dis­per­sées dans le monde comme les planètes. La con­cep­tion d’une créa­tion annuelle qui s’a­joute à la reprise d’une oeu­vre du réper­toire, tisse, retisse l’his­toire du Tanzthe­ater.
Con­traire­ment à de nom­breux spec­ta­cles de danse illus­trat­ifs ou pure­ment esthé­tiques, les pièces (Stücke), ces morceaux du puz­zle théâ­tral qui con­stituent l’oeu­vre sont dotés d’un dis­cours sous-jacent. Au com­mence­ment, chez Pina Bausch, il y a la danse, le mou­ve­ment qui sur­git de l’ob­ser­va­tion du quo­ti­di­en. La repro­duc­tion d’une micro­gestuelle, celle du déni d’amour. Le bas­cule de la ten­dresse à la vio­lence, le moment où le don de plaisir est rat­trapé par les com­plex­es de l’é­go et que le machisme reprend le dessus.
Cette danse théâtre n’a en fait pas besoin de paroles pour être expres­sive. La danse des corps est pleine­ment auto­suff­isante au dis­cours. Le mode théâ­tral tel qu’on l’en­tend a pri­ori : val­ori­sa­tion du texte dra­ma­tique est sec­ond. Le mode théâ­tral est présent par l’en­vers du dis­cours, tout ce qui est dra­ma­tique sans être pour autant lin­guis­tique. Le théâtre dans les choré­gra­phies de Pina Bausch est struc­turel : cadre, sup­port au sens plas­tique, rap­pel des con­tours. Nous sommes sur scène, il s’ag­it d’une illu­sion dra­ma­tique, le sol est un lino plaqué sur la scène dans BANDONEON (1981), les échelles mènent à des granges imag­i­naires dans SWEET MAMBO (2008). Nous sommes dans une réal­ité trans­posée sur scène. Même la nature est une notion kitsch : des fleurs en papi­er, huit cents ceil­lets fab­riqués à Bangkok pour NELKEN (1982), une biche empail­lée dans 1980, EIN STÜCK VON PINA BAUSCH (1980), un hip­popotame dans ARIEN (1979), ou un croc­o­dile de scène la même année dans LA LÉGENDE DE LA CHASTETÉ et de l’eau, de l’eau, encore de l’eau où évo­quer glis­sades, plaisirs bal­néaires, chutes tor­ren­tielles, pluies, neiges et glaces.

Le théâtre est le mode de représen­ta­tion, la danse est le lan­gage. Lorsque ici ou là la parole sur­git, elle naît du mou­ve­ment, de l’in­stant, elle est propul­sée par la vari­a­tion dan­sée choisie. La parole est aus­si réduite à un mode sonore et non à un véri­ta­ble con­tenu nar­ratif doté d’un déroule­ment aris­totéli­cien.
Dans le théâtre dan­sé de Pina Bausch la parole appar­tient en réal­ité au hors scène. Elle est
con­finée dans les marges des spec­ta­cles. Elle appar­tient encore plus aux marges antérieures. Pin­aBausch pra­ti­quait le rit­uel des Stich­wi­irter : des phras­es déclencheurs, des inci­ta­tions à uncon­den­sé de tous les modes dra­ma­tiques : retrou­ver la gamme des pos­si­bles autour de ces phras­es énigmes : « quelque chose de cassé, rien à faire », l’ir­ré­para­ble ;

« Péné­lope », l’at­tente tou­jours renou­velée, des con­cepts, des ouver­tures vers le mythe ou bien de sim­ples jeux d’ob­ser­va­tion « quelque chose de l’amour — rit­u­alis­er » ou « quelque chose qui fasse mal — physique­ment ». Des phras­es qui propulsent la créa­tiv­ité de façon spon­tanée dans l’im­pro­vi­sa­tion, la plongée mnésique stanislavski­enne, l’é­tude rap­portée des obser­va­tions de la vie quo­ti­di­enne, la rou­tine des exer­ci­ces de scène. La parole précède, cherche, aus­culte le réel. La parole doc­u­mente l’événe­ment humain, le lien homme-femme, la pros­ti­tu­tion bour­geoise ou urbaine dans LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX (1976), l’éro­tisme léger ou sadique, la vul­néra­bil­ité et la fraicheur de l’en­fance dans POUR LES ENFANTS D ‘HIER, D’AUJOURD’HUI ET DE DEMAIN (2002), les ten­ta­tions de l’autre …
LA PLAINTE DE L’IMPÉRATRICE, film conçu par Pina Bausch en 1990, mon­tre bien les répéti­tions, les recherch­es expéri­men­tales, l’u­nivers en vase clos qui s’ef­force de vivre à l’air libre comme si le danseur wup­per­tal­ien sor­tait de son stu­dio-aquar­i­um pour ten­ter l’ex­péri­ence de la forêt. D’ailleurs cette notion d’aquar­i­um, et de danseur évolu­ant d’un côté ou de l’autre de cette cage de verre et d’eau se retrou­ve dans DANZÔN (1995), spec­ta­cle dans lequel Pina Bausch danse son dernier solo, une oeu­vre où la flu­id­ité de l’être, son côté éthéré, qual­i­fié de som­nam­bulique dans CAFÉ MÜLLER (1978), acquière une pureté essen­tielle. La danseuse se fond dans la part organique du monde. Elle s’as­so­cie, diaphane, aux couleurs de l’u­nivers. Le jeu des pro­jec­tions et des super­po­si­tions audio­vi­suelle gomme les fron­tières entre l’hu­main et le naturel, de la même façon que dans ÀGUA (2001) où les danseurs se dis­sol­vent et se super­posent dans les pro­jec­tions d’im­age de la jun­gle et de ses jaguars. Chez Pina Bausch, le théâtre et la danse ont le même statut que le mas­culin et le féminin. Indis­so­cia­bles, imbriqués, au corps à corps, en har­monie, en destruc­tion, un jeu de séduc­tion à renou­vel­er en per­ma­nence.

Dans l’his­toire de la danse, le théâtre dan­sé émerge comme une sorte de néces­sité his­torique qui se cristallise ici et là dans le monde à la même époque. Pina Bausch n’est pas la pre­mière à avoir inven­té ce con­cept. D’autres créa­teurs mêlent déjà les arts scéniques. Elle a eu des prédécesseurs illus­tres tels que Ger­hard Bohn­er et Johanr Kres­nik. Kres­nik stig­ma­tise la vio­lence poli­tique et Pina Bausch celle des rela­tions humaines. Elle a été for­mée à la Hochschule de Essen sous la direc­tion de Kurt Jooss dont le spec­ta­cle LA TABLE VERTE, même s’il s’ag­it d’une choré­gra­phie et non de théâtre dan­sé, insuf­fle déjà une forte drama­ti­sa­tion aux jeux des danseurs. Pina Bausch étudie égale­ment à la Juil­liard School of Music de New York de 1959 à 1962, ce qui lui per­met de décou­vrir les travaux d’artistes tels que les danseurs de la Jud­son Church The­ater qui ori­en­tent leur choré­gra­phie vers une action con­tes­tataire. Dans les années 1970, les arts scéniques por­tent un mes­sage ori­en­té vers la dénon­ci­a­tior de la guerre du Viet­nam. De part et d’autre de l’At­lan­tique, qu’il s’agisse d’An­na Hal­prin ou de Johann Kres­nik, le cap­i­tal­isme et ses ten­dances impéri­al­istes sont au cœur des thé­ma­tiques.

KONTAKTHOF,
choré­gra­phie Pina Bausch, 1981.
Pho­to Guy Dela­haye.

Le courant du théâtre vivant du Liv­ing The­atre avec THE BRIG (1964) ou PARADISEN NOW (1968) va du mode théâ­tral au mode choré­graphique inspiré des bac­cha­nales, miroir de la péri­ode hip­pie, du cré­do Peace and Love et d’un con­cept dan­sé orgias­tique. Les corps se mêlent, se délient et récla­ment le par­adis ici et main­tenant. Le théâtre anar­chiste qui fait éclater toute nar­ra­tion à l’an­ci­enne et priv­ilégie le théâtre des corps et un dis­cours sous-enten­du de révolte est le pen­dant du tra­vail de Pina Bausch. Le Liv­ing et Pina Bausch retra­vail­lent les mêmes matéri­aux humains et mythiques d’après une approche dif­férente. Le Liv­ing part des tragédies grec­ques telles que ANTIGONE et les dis­sout sur scène dans un mode orgias­tique. Quant à Pina Bausch, elle part du mod­èle d’une danse apprise sous la baguette des maîtres de l’é­cole clas­sique et relie les sché­mas com­porte­men­taux de notre quo­ti­di­en auprès des mythes anciens (ORPHÉE ET EURYDICE (1975 ), IPHIGÉNIE ( 1973) et des mythes mod­ernes qu’on pour­rait qual­i­fi­er de barthésiens : la boxe (BANDONEON); la mafia (WIESENLAND); le ham­mam (NEFÉS, 2003). Elle nous aide à percevoir ce qui appar­tient à des sché­mas éter­nels, répéti­tifs et inélucta­bles. Le rap­pel du mythe, de la légende ou des comptines de l’en­fance sert d’ice­berg de sig­ni­fi­ca­tion. Elle crée ain­si des repères atem­porels au détour des jeux d’amour et de destruc­tion.
En fait, ce qui fait la force de ce théâtre dan­sé, c’est que les morceaux du patch­work dra­ma­tique épouse à la fois l’anec­do­tique et le mythique. Chaque spec­ta­cle est porté par la réécri­t­ure d’un mythe ou l’in­stan­ta­né d’un état de société actuel inspiré par ses séjours en rési­dence à l’é­tranger. Elle crée des cartes postales ésotériques. Une saisie de l’essence d’une cul­ture et de ses mod­èles socioé­conomiques. La place de la femme et de l’amour au sein des cul­tures du monde. Une sorte d’é­tat des lieux de l’in­stinct d’amour et de paix en Ori­ent et en Occi­dent aujour­d’hui.
Au-delà de ces « pièces-morceaux », on perçoit en per­ma­nence le tout, le reste de l’ oeu­vre, les autres spec­ta­cles du puz­zle. La cos­mogo­nie bauschi­enne se recrée à chaque spec­ta­cle sous nos yeux en fil­igrane. Ce sont tous ses spec­ta­cles que nous revoyons super­posés dans nos mémoires. Il s’y des­sine un regard unique sur le monde. Un silence trag­ique avec une lumière d’e­spoir dans les yeux. Les sché­mas de con­struc­tion et de destruc­tion sont inscrits au coeur même de l’u­nivers. Les rythmes et les res­pi­ra­tions de la vie et de l’amour sem­blent dic­tés au-delà du moment par des normes plus vastes que celles que nous nous con­tentons de percevoir.
Le mir­a­cle du théâtre dan­sé de Pina Bausch c’est la générosité de ce don d’une vision de
l’é­ter­nité. Au-delà des ver­nis cul­turels, des règles de vie, en har­monie ou en dis­so­nance avec l’in­stant, repris par des forces plus grandes, celles de la nature et des mythes. Ce n’est pas le cap­i­tal­isme effréné qu’elle com­bat comme le fai­sait Brecht ou le com­mu­nisme déviant comme l’a fait Stop­pard, mais bien l’homme ou la femme en décalage avec les forces naturelles de la vie.

On a dit que ses pre­miers spec­ta­cles, l’époque de BARBE-BLEUE (1977) et de WALZER (1982) étaient som­bres, provo­cants, désta­bil­isants. Cer­tains cri­tiques se sont plaints en revanche de ne plus retrou­ver cette nébuleuse glauque dans les spec­ta­cles plus récents. Un spec­ta­cle comme MASURCA FOGO (1998), conçu lors d’une rési­dence à Lis­bonne fait jail­lir la source de la théâ­tral­ité de la danse : cette force unique de vie à par­tir de rien dans un bidonville, quelques planch­es, des tôles, une baraque que l’on monte et que l’on démonte et d’où sur­git la fête. On sent un écho à l’un des tous pre­miers spec­ta­cles, écho qui tra­verse les temps et les fron­tières, une renais­sance de la vie et de la capac­ité au bon­heur et à l’amour tou­jours renou­velé, qui cor­re­spond à la vul­gar­i­sa­tion du plus grand mythe gui par­court l’œu­vre de Pina Bausch, dévelop­pé à l’o­rig­ine dans LE SACRE DU PRINTEMPS (1975), les forces de renou­veau, le côté ter­rien, l’an­crage dans le ter­reau de la vie, l’ab­sence de crainte face aux éclabous­sures de la matière, et la néces­sité de sac­ri­fi­er un être, l’Élue, pour per­me­t­tre au print­emps de revenir. Les cycles des spec­ta­cles explorent cette notion du désir d’amour et de vie, de la vio­lence sac­ri­fi­cielle, de la destruc­tion, de la perte et du retour des sens. D’un spec­ta­cle à l’autre, le souf­fle des rythmes de cet éter­nel retour des saisons, des drames, des paix et des guer­res suit le rythme des musiques du monde.
L’œu­vre musi­cale la plus représen­ta­tive de l’œu­vre de Pina Bausch est LE CHÂTEAU DE BARBE-BLEUE de Béla Bartók, c’est la seule dont le titre soit inté­gré à l’un des titres du réper­toire de Pina Bausch : BARBE BLEUE — BLAUBART BEIM ANHÖREN EINER TÜNBANDAUFNAME VON BELÀ BARTÓKS’ OPER « HERZOGS BLAUBARTS BURG » (1977 ). Elle ressort donc comme emblé­ma­tique de cette fusion entre la théâ­tral­ité du réc­it opéra­tique de Bartók et son adap­ta­tion choré­graphique. Dans ce cas pré­cis, la con­tri­bu­tion musi­cale, très libre­ment adap­tée, sert de sup­port à la réflex­ion dan­sée. Cepen­dant elle est elle­- même matière pre­mière, sujette au mode de la vari­a­tion, extrait exploité en boucle, écoute répéti­tive à la John Cage du mod­èle bar­tok­ien, tour­bil­lon de la red­ite. Bar­be­-Bleue écoute sur un mag­né­to­phone à ban­des cet air de Bartók, repris à l’in­fi­ni d’après un procédé dra­maturgique évo­ca­teur du jeu théâ­tral beck­et­tien dans LA DERNIÈRE BANDE (1960). Pen­dant ce temps scénique, les femmes de Barbe-Bleue sont envelop­pées dans des draps d’amour camisole et bal­ancées con­tre les murs d’un monde intérieur. Les étreintes sont renou­velées, les femmes emmail­lotées dans des draps mor­tu­aires, entassées les unes sur les autres dans un décor autom­nal où les feuilles mortes envahissent la scène intérieure et enfin elles sont accrochées comme des trophées sur les murs, papil­lons de nuit, ten­tures, objets de col­lec­tion­neur. Pina Bausch et Béla Bartók explorent l’ex­hi­bi­tion du moi déchiré par la vio­lence de ses instincts con­tra­dic­toires. L’opéra de Bartók met­tait en scène l’af­fron­te­ment entre Barbe-Bleue et sa qua­trième femme, Judith, et le drame de la curiosité lorsque l’épouse cherche à décou­vrir la vérité de l’autre. Pina Bausch reprend cette sché­ma­ti­sa­tion à l’ex­trême d’un des aspects du con­flit homme-femme, la crim­i­nal­ité du désir, l’in­stinct mante-religieuse de l’homme, la norme biologique qui incite à la chas­se à l’éphémère. Dans LE SACRE DU PRINTEMPS, la musique de Stravin­s­ki porte égale­ment l’œu­vre, elle ouvre la dra­maturgie inhérente à la struc­ture de l’œu­vre, elle est con­struc­tion et sup­port du mythe. Dans ORPHÉE ET EURYDICE, Pina Bausch choisit de dédou­bler cette fois les voix et les corps, schize qui souligne d’au­tant plus para­doxale­ment com­ment l’élan musi­cal déter­mine le des­tin.
Lorsque l’on par­le du théâtre dan­sé de Pina Bausch, il ne faut pas oubli­er l’imag­i­naire musi­cal qui struc­ture l’œu­vre de la choré­graphe, par­cours d’hom­mage à la musique de Kurt Weill ; aux comptines de l’en­fance, aux clas­siques et aux mod­ernes qui uni­fient en un tout le théâtre et la danse de même qu’au ciné­ma la musique sert à gom­mer les rac­cords. Partout, la musique est util­isée comme out­il dra­ma­tique et non comme sim­ple fond musi­cal. Elle fait par­tie de la dra­maturgie de l’œu­vre, elle fait d’ailleurs fig­ure de livret. Les paroles des chan­sons sont enten­dues comme texte por­teur et non comme flux illus­tratif. Dans les choré­gra­phies de Pina Bausch, la musique mixe et remixe les êtres et les cul­tures. Partout, les airs se mêlent, clas­siques de jazz (THE MAN I LOVE de Gersh­win présen­té en langue des signes par Lutz Förster dans NELKEN), tan­gos à la nos­tal­gie d’un éro­tisme cod­i­fié (BANDONEON), clas­siques de la sam­ba brésili­enne (ÀGUA), fado et musique capver­di­enne (MASURCA FOGO), airs de l’Eu­rope de l’Est, de Bartók (BARBE-BLEUE) aux airs tsi­ganes de WIESENLAND (2000), tra­di­tion indi­enne et néo-wave bri­tan­nique dans BAMBOO BLUES (2007). Dans ce spec­ta­cle, la musique tra­di­tion­nelle indi­enne côtoie la musique rock anglaise du groupe Talk Talk et des com­po­si­tions de Talvin Singh, com­pos­i­teur né à Lon­dres qui opère la fusion entre la musique clas­sique indi­enne et le Drum ‘n’ Bass, une musique élec­tron­ique under­ground au tem­po ultra-rapi­de et à la mélodie en basse.

Pina Bausch dans CAFÉ MÜLLER,
choré­gra­phie Pina Bausch, 1990.
Pho­to Guy Dela­haye.
Hommage
Critique
Théâtre
danse
2
Partager
auteur
Écrit par Brigitte Gauthier
Pro­fesseur à l’U­ni­ver­sité Lyon 3 Jean Moulin, his­to­ri­enne du théâtre et du ciné­ma, anci­enne élève de l’Ecole Nor­male...Plus d'info
Partagez vos réflexions...

Vous aimez nous lire ?

Aidez-nous à continuer l’aventure.

Votre soutien nous permet de poursuivre notre mission : financer nos auteur·ices, numériser nos archives, développer notre plateforme et maintenir notre indépendance éditoriale.
Chaque don compte pour faire vivre cette passion commune du théâtre.
Nous soutenir
Précédent
Suivant
Article publié
dans le numéro
Couverture du numéro 105 - Théâtre-danse : la fusion ou rien !
#105
mai 2025

Théâtre-danse : la fusion ou rien !

3 Juin 2010 — AVEC AU CŒUR DE SON TRAVAIL un appétit pour les rencontres humaines, Alain Platel développe depuis plus de vingt-cinq ans…

AVEC AU CŒUR DE SON TRAVAIL un appétit pour les ren­con­tres humaines, Alain Pla­tel développe depuis plus de…

Par Olivier Hespel
Précédent
1 Juin 2010 — AU FIL DES ANNÉES, nous avons souvent été amenés, Nicole Mossoux et moi, à devoir déterminer le genre des spectacles…

AU FIL DES ANNÉES, nous avons sou­vent été amenés, Nicole Mossoux et moi, à devoir déter­min­er le genre des spec­ta­cles que nous fai­sions, puisque, invités dans des pro­gram­ma­tions de danse comme de théâtre et pour…

Par Patrick Bonté
La rédaction vous propose

Bonjour

Vous n'avez pas de compte?
Découvrez nos
formules d'abonnements

Mot de passe oublié ?
Mon panier
0
Ajouter un code promo
Sous-total