« C’est dans cet aller-retour entre le jeu et la direction d’acteurs que je trouve mon plaisir. »
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« C’est dans cet aller-retour entre le jeu et la direction d’acteurs que je trouve mon plaisir. »

Entretien avec Pascale Binnert

Le 18 Oct 1998
Xavier Guittet dans C’EST TOUJOURS LE MÊME MURMURE de Samuel Beckett, mise en scène Pascale Siméon. Photo Réeis Nardoux.
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FABIENNE VERSTRAETEN : Tu as un long par­cours de comé­di­enne avant d’en venir à la mise en scène. Com­ment le pas­sage s’est-il fait ? Est-ce le fruit d’une évo­lu­tion per­son­nelle, ou bien d’une rup­ture rad­i­cale ?

Pas­cale Bin­nert : Ma for­ma­tion de comé­di­enne a tou­jours été asso­ciée à un souci de mise en scène : quand nous tra­vail­lions des scènes, à l’IN­SAS1 ou avant cela en France, à Dijon, je pre­nais sou­vent le rôle d’œil extérieur. En sor­tant de l’IN­SAS, j’ai eu envie de faire un tra­vail col­lec­tif avec les gens de la classe sur LA DOUBLE INCONSTANCE de Mari­vaux. Mais cette expéri­ence m’a déçue :nous n’avons reçu aucun sou­tien insti­tu­tion­nel, per­son­ne ou presque n’est venu voir le tra­vail au Théâtre de la Bal­samine, et le spec­ta­cle n’a pas tourné comme je l’e­spérais. L’esquisse de spec­ta­cle que nous avons présen­tée a pour­tant reçu le prix de la Cocof2 ? pour le jeune Théâtre, ex aequo avec YVONNE PRINCESSE DE BOURGOGNE mis en scène par Jean Michel d’Hoop. Ce prix nous a per­mis de retra­vailler et de présen­ter un spec­ta­cle achevé au Théâtre de la Bal­samine. Tout de suite après cette expéri­ence, j’ai été engagée en tant que comé­di­enne ; j’avais per­du toute envie de me con­fron­ter seule à un pro­jet et à tous les soucis de pro­duc­tion qu’il entraîne. Si j’avais ren­con­tré un parte­naire qui aurait eu envie de se col­leter à ces prob­lèmes, alors là oui peut-être…

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17 Oct 1998 — FABIENNE VERSTRAETEN: Tu as présenté il y a un an, à Bruxelles, MARINS SINBAD, ton cinquième spectacle. Comment en es-tu…

FABIENNE VERSTRAETEN : Tu as présen­té il y a un an, à Brux­elles, MARINS SINBAD, ton cinquième spec­ta­cle. Com­ment en es-tu arrivé là ? Pour­rais-tu revenir sur le par­cours qui aboutit à ce spec­ta­cle ? Manuel…

Par Fabienne Verstraeten
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