Jérôme Savary « Nous sommes biodégradables. Nous ne laissons pas de détritus derrière nous. »
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Jérôme Savary « Nous sommes biodégradables. Nous ne laissons pas de détritus derrière nous. »

Entretien avec Colette Godard

Le 19 Oct 1998
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COLETTE GODARD : Com­ment es-tu venu au théâtre ?

Jérôme Savary : En 1963, je suis allé faire mon ser­vice mil­i­taire dans mon pays natal, en Argen­tine. Le pays n’é­tait pas encore dirigé par ses sin­istres généraux. J’y suis resté sept mois et j’ai eu le temps de faire deux révo­lu­tions (1) évi­tant ain­si l’en­rôle­ment français qui, en cette péri­ode d’après guerre d’Al­gérie, durait encore vingt-qua­tre mois. De retour en France, j’ai eu la nos­tal­gie de Buenos Aires où je fai­sais des dessins dans une revue humoris­tique, une sorte d’Hara-Kiri argentin. J’avais appris à bien par­ler l’es­pag­nol et à aimer le tan­go, ces mag­nifiques mélo­drames de trois minutes.À Paris, ils me man­quaient. Je me suis alors mis à fréquenter les bars sud-améri­cains de Saint-Ger­main. C’est là que j’ai ren­con­tré ma pre­mière femme, la comé­di­enne vénézuéli­enne Ilcia d’Aubetère, et, grâce à elle, deux grands met­teurs en scène : Vic­tor Gar­cia et Jean-Marie Ser­reau. Vic­tor Gar­cia était fier comme un torero, et, mal­gré
sa petite taille, sem­blait vous regarder de haut. Il refu­sait d’u­tilis­er le plas­tique, mais se ser­vait à la place de vessies de porc, de peaux d’animaux ; un écol­o­giste avant l’heure. C’é­tait un met­teur en scène chré­tien dans le sens Mon­ty Python. Mais ses mis­es en scène n’é­taient pas tou­jours très drôles…

Jean-Marie Ser­reau avait un œil de verre et l’habi­tude de se le grat­ter avec sa fourchette quand il déje­u­nait avec des gens impor­tants. Ce qui nous fai­sait beau­coup rire. À l’époque il mon­tait le théâtre de Beck­ett avec Del­phine Seyrig et Michael Lons­dale au Pavil­lon de Marsan.

Ce sont ces ren­con­tres qui m’ont con­duit à entr­er dans le monde du théâtre. J’avais fait l’É­cole des Arts Déco­rat­ifs de Paris et j’ai com­mencé par faire des décors pour Jean-Marie Ser­reau. Je me sou­viens du décor pro­jeté que j’avais conçu pour LA TRAGÉDIE DU ROI CHRISTOPHE. Et puis, pour ne pas avoir l’air igno­rant aux côtés de ma femme qui tra­vail­lait avec des met­teurs en scène nova­teurs, j’al­lais aus­si à l’école, dans cette école for­mi­da­ble qui s’ap­pelait l’U­ni­ver­sité du Théâtre des Nations où allait aus­si Jorge Lavel­li. Elle était dirigée par André-Louis Per­inet­ti. Les cours avaient lieu dans les combles du Théâtre Sarah Bern­hard. Nous étions de toutes nation­al­ités, il y avaient par­mi nous des Turcs, des Améri­cains … On était des espèces d’in­ter­na­tion­al­istes théâ­traux qui étu­di­aient toutes les utopies exis­tantes. Un jour Che Gue­vara est venu nous don­ner un cours. Il accom­pa­g­nait les bal­lets d’Ali­cia Alon­so qui se pro­dui­saient à côté, au théâtre des Nations. Che Gue­vara était en « bat­tle dress » avec son béret légendaire et ses yeux bleus, un peu gras. (On oublie sou­vent que le Che était un peu gras, et qu’il n’a été mai­gre que le jour de sa mort, épuisé par sa longue marche dans la Sier­ra Madre.) Après le cours, il y a eu une petite récep­tion. C’est alors que je suis allé vers lui pour le provo­quer : « Com­ment est-il pos­si­ble qu’un leader révo­lu­tion­naire de votre ampleur soit là en train de boire du cham­pagne avec Ali­cia Alon­so ? » Le Che m a pris par la manche et m’a dit : « Viens, on va boire un coup. » Nous sommes descen­dus au bistrot qui se trou­vait à gauche de l’actuel Théâtre de la Ville et nous avons passé crois quarts d’heure à boire du rouge et à manger du saucis­son. En par­tant, il m’a dit en espag­nol : « T’en fais pas petit, bien­tôt tu enten­dras par­ler de moi. » Et de fait, la semaine suiv­ante, il par­tait à Cuba et y déclarait publique­ment renon­cer à la citoyen­neté cubaine, à toutes ses médailles et priv­ilèges. Il est ensuite par­ti chez Kabi­la au Con­go et y a con­nu le fias­co que l’on sait avant d’en­tamer son long chemin de croix en Bolivie.

Voilà com­ment j’ai com­men­té. Je dois dire que j’é­tais aus­si un peu comé­di­en, et musi­cien : j ai un jour rem­placé au pied levé un acteur malade de Vic­tor Gar­cia ;il m’a ensuite don­né un rôle dans UBU ROI.

Pour impres­sion­ner ma Jeune épouse, j’ai fondé dès ce moment-là ma pro­pre com­pag­nie et je lui ai con­fié le rôle d’ad­min­is­tra­trice.

C. G.: Mais ce n’é­tait pas encore le Mag­ic Cir­cus.

J. S.: Pas du tout. J’é­tais alors seule­ment scéno­graphe et comé­di­en.

C. G.: Mais alors, com­ment en es-tu venu à créer le Mag­ic Cir­cus ? Cela s’est fait en plusieurs étapes, je crois.

J. S.: Oui. J’ai d’abord fondé une com­pag­nie qui por­tait mon nom, (Comme ça on est sûr d’ap­pa­raître sur les affich­es !) J’avais écrit deux pièces en Un acte. Lune s’ap­pelait L’INVASION DU VERT OLIVE, c’é­tait l’his­toire d’une couleur, la couleur vert olive, qui envahis­sait toute une ville. Du Ionesco revis­ité. Lautre s’ap­pelait LES BOÎTES et racon­tait l’his­toire de gens qui vivent dans des boîtes en car­ton. Cette fois-ci, je subis­sais l’in­flu­ence de Beck­ett. Alain Crombecque nous a invités à jouer ces deux pièces dans un fes­ti­val uni­ver­si­taire, sous un chapiteau rue de la Con­trescarpe au print­emps 1965. Avant nous, des gardes rouges chi­nois mon­taient sur scène, et après nous, il y avait un défilé de Rabanne. Les char­mantes petites chi­nois­es en uni­forme Mao étaient dans les loges voisines des nôtres ; nous avons vaine­ment essayé de les dra­guer. Il faut dire aus­si qu’on était déguisé en trav­elo (on fai­sait déjà les drag queen !). Et puis nous avions déjà mis des poules sur la scène. (Si vous voulez fonder une com­pag­nie, engagez des ani­maux. Il n’y a ni Ursaff ni Assedic à pay­er et si les affaires vont vrai­ment mal on peut tou­jours les manger.) Arra­bal était venu nous voir, vêtu d’une écharpe rouge, d’une cape en soie et d’un cha­peau aux larges bor­ds, il fai­sait penser à un mélange de Vin­cent Scot­to et de Dali. Il était venu me dire que le spec­ta­cle lui avait vrai­ment plu. Au point de m’im­pos­er comme met­teur en scène au théâtre Daniel Sora­no qui avait décidé de mon­ter sa pièce LE LABYRINTHE. C’est grâce à cette ren­con­tre que je suis sor­ti de l’om­bre : Arra­bal était déjà à l’époque un auteur extrême­ment célèbre.

Je me sou­viens qu’il y avait un long mono­logue silen­cieux au beau milieu du spec­ta­cle par ailleurs ter­ri­ble­ment bruyant : un per­son­nage dan­sait silen­cieuse­ment pen­dant cinq min­utes. Et un soir, pen­dant ce mono­logue, une cane a pon­du un œuf sur scène. C’é­tait un moment de grâce : on était de plain-pied avec l’u­nivers des dessins d’Arra­bal.

Le spec­ta­cle a fait scan­dale. On avait fait un tract imprimé sur du papi­er hygiénique, parce que le per­son­nage qui sym­bol­i­sait le Christ, chaque fois qu’il avait un prob­lème, se met­tait la tête dans une cuvette de chiottes et Je tirais la chas­se d’eau. Poirot Delpech était venu nous voir, je me sou­viens avoir par­lé avec lui dans le métro — à ce moment-là, c’é­tait encore pos­si­ble. Mais c’est grâce à Dutour qu’on a été lancé : il a écrit une cri­tique très vio­lente. On a repris le spec­ta­cle à Franc­fort, puis le Mer­cury The­ater de Lon­dres nous a invités. Mais au même moment se sont déclenchés les événe­ments de mai 1968 et mon acteur prin­ci­pal, Jacques Cou­tureau, occu­pait le Théâtre de l’Odéon. Je suis allé le voir pour essay­er de le con­va­in­cre de venir avec nous à Lon­dres. Mais j’ai été telle­ment dégoûté par la con­duite des insurgés, une bande de ringards ratés et minables qui essayaient d’humilier Madeleine Renaud et Jean-Louis Bar­rault, que je suis par­ti sans lui. À Lon­dres nous avions donc dû mod­i­fi­er la pièce, et on l’a appelé le Pan­ic Cir­cus. C’é­tait l’ancêtre du Mag­ic. Les Beat­tles sont venus nous voir, encore une de mes ren­con­tres impor­tantes ; David Bowie jouait dans la pièce, il était absol­u­ment char­mant en tutu. Le spec­ta­cle a con­nu un grand suc­cès de presse.

C. G.: Il avait un côté Mon­ty Python.

J. S. : Le spec­ta­cle était assez british. Je suis d’ailleurs d’o­rig­ine irlandaise par ma mère.

C. G.: Mais c’est à New-York qu’est vrai­ment né le Mag­ic Cir­cus ?

J. S. : Oui, Ellen Stew­ard était venue voir le spec­ta­cle à Lon­dres et nous y avait invités. On a joué à la Mam­ma puis à l’Ex­ten­sion The­ater, mais on man­quait d’ar­gent. C’est alors qu’on a eu l’idée de faire des parades dans Cen­tral Park, les pre­mières parades du Mag­ic Cir­cus où l’on fai­sait la quête.

C. G.: De retour à Paris, Jean-Louis Per­inet­ti t a invité à jouer ton spec­ta­cle ZARTAN au Théâtre de la Cité Inter­na­tionale. Per­son­ne ne vous con­nais­sait et pour­tant dès le pre­mier jour, une foule incroy­able s’est rassem­blée pour venir vous voir. Per­son­ne ne com­pre­nait pourquoi.

J. S.: Je me sou­viens d’un arti­cle de Math­ieu Gal­ley qui dis­ait : « mille per­son­nes rient, se roulent par terre et je ne com­prends pas pourquoi. » Il y a eu une espèce de phénomène de con­ta­gion. Le théâtre est à mon sens le seul art qui soit véri­ta­ble­ment vivant. Con­traire­ment aux cinéastes ou aux sculp­teurs, nous sommes biodégrad­ables, nous ne lais­sons pas de détri­tus der­rière nous. Le seul théâtre qui m’in­téresse est celui qui instau­re un vrai dia­logue avec le pub­lic. Et je crois que c’est cela qui a fait fonc­tion­ner ZARTAN. On jouait par­mi les spec­ta­teurs, comme Ari­ane Mnouchkine dans 1789, et le fait d’être au milieu d’eux fai­sait naître une espèce de com­plic­ité, une exci­ta­tion fes­tive ; et puis il y avait de jolies filles, de jolis garçons aus­si.

C. G. : Je crois surtout que tu as su faire ce spec­ta­cle au bon moment : le pub­lic attendait ZARTAN sans le savoir. C’é­tait une par­o­die du cirque, un décalage sur le cirque, mais qui exploitait en même temps tous les trucs du cirque. Voilà à mon sens l’un de tes grands tal­ents : savoir tomber juste, faire les spec­ta­cles qu’il faut au moment voulu.

J. S. : Je crois que c’est parce que je ne sors pas de Nor­mal Sup. Je me suis tou­jours con­fron­té à la réal­ité, j’es­saye de com­pren­dre com­ment elle fonc­tionne, j’é­coute ce que les gens dis­ent dans la rue ou au bistrot. Et d’autre part je n’ai pas l’obsession de bâtir une œuvre per­son­nelle. Peu m’im­porte de laiss­er des traces. Je pra­tique un art biodégrad­able que je refais au jour le jour, comme le boulanger son pain. Et puis je n’avais aus­si pas d’autres choix que de tomber juste : j’ai fait quinze ans de théâtre sans sub­ven­tion avec une équipe qui n était Jamais inférieure à trente per­son­nes. C’est d’ailleurs parce qu’on ne trou­vait pas de ressources sufh­santes en France qu’on est allé à l’é­tranger. Comme aujour­d’hui ceux de Jérôme Deschamps et de Macha Makeieff, comme ceux de Bartabas, nos spec­ta­cles étaient d’abord visuels et pou­vaient être reçus partout. Nous nous sommes pro­duits en Alle­magne, aux Étas-Unis, en Espagne ou en Ital­ie, et à chaque fois nous jouions dans la langue du pays. Michel Dus­sar­rat par exem­ple est capa­ble de jouer le même rôle en quinze langues :c’est absol­u­ment hal­lu­ci­nant. et je ne com­prends pas pourquoi. » Il y a eu une espèce de phénomène de con­ta­gion. Le théâtre est à mon sens le seul art qui soit véri­ta­ble­ment vivant. Con­traire­ment aux cinéastes ou aux sculp­teurs, nous sommes biodégrad­ables, nous ne lais­sons pas de détri­tus der­rière nous. Le seul théâtre qui m’in­téresse est celui qui instau­re un vrai dia­logue avec le pub­lic. Et je crois que c’est cela qui a fait fonc­tion­ner ZARTAN. On jouait par­mi les spec­ta­teurs, comme Ari­ane Mnouchkine dans 1789, et le fait d’être au milieu d’eux fai­sait naître une espèce de com­plic­ité, une exci­ta­tion fes­tive ; et puis il y avait de jolies filles, de jolis garçons aus­si.

C. G. : Je crois surtout que tu as su faire ce spec­ta­cle au bon moment : le pub­lic attendait ZARTAN sans le savoir. C’é­tait une par­o­die du cirque, un décalage sur le cirque, mais qui exploitait en même temps tous les trucs du cirque. Voilà à mon sens l’un de tes grands tal­ents : savoir tomber juste, faire les spec­ta­cles qu’il faut au moment voulu.

J. S.: Je crois que c’est parce que je ne sors pas de Nor­mal Sup. Je me suis tou­jours con­fron­té à la réal­ité, j’es­saye de com­pren­dre com­ment elle fonc­tionne, J’é­coute ce que les gens dis­ent dans la rue ou au bistrot. Et d’autre part je n’ai pas l’obsession de bâtir une œuvre per­son­nelle. Peu m’im­porte de laiss­er des traces. Je pra­tique un art biodégrad­able que je refais au jour le jour, comme le boulanger son pain. Et puis je n’avais aus­si pas d’autres choix que de tomber juste : j’ai fait quinze ans de théâtre sans sub­ven­tion avec une équipe qui n’é­tait Jamais inférieure à trente per­son­nes. C’est d’ailleurs parce qu’on ne trou­vait pas de ressources suff­isantes en France qu’on est allé à l’é­tranger. Comme aujourd’hui ceux de Jérôme Deschamps et de Macha Makeieff, comme ceux de Bartabas, nos spec­ta­cles étaient d’abord visuels et pou­vaient être reçus partout. Nous nous sommes pro­duits en Alle­magne, aux Étas-Unis, en Espagne ou en Ital­ie, et à chaque fois nous jouions dans la langue du pays. Michel Dus­sar­rat par exem­ple est capa­ble de jouer le même rôle en quinze langues : c’est absol­u­ment hal­lu­ci­nant.

Ce souci nous a aus­si appris à rester à l’é­coute du pub­lic, quitte à mod­i­fi­er le spec­ta­cle. Le Nain Car­los qui jouait dans LES MÉLODIES DU MALHEUR, par­le polon­ais. Quand on a joué en Pologne, il s’est mis à racon­ter pen­dant un quart d’heure des his­toires anti-russ­es qui n’avaient rien à voir avec la pièce, mais qui fai­saient mourir de rire le pub­lic. Du moment que ça fonc­tionne, on l’in­tè­gre. Nous ne sommes rien d’autre que des bateleurs, et pour attir­er le pub­lic, il faut savoir s’adapter, ne pas être rigide. Je suis tou­jours prêt à rajouter ou chang­er une scène pourvu que le pub­lic y adhère. Il faut dire aus­si que j’ai pu tra­vailler quinze ans sans sub­ven­tion parce que l’époque le per­me­t­tait. C’é­tait les trente Glo­rieuses, les gens sor­taient plus volon­tiers, ils avaient une plus grande curiosité pour les spec­ta­cles d’a­vant-garde, les jour­nal­istes par­taient à la recherche de spec­ta­cles inat­ten­dus. Je me sou­viens des deux pages que nous avait con­sacrées Chris­tiane Duparc dans le Nou­v­el Obser­va­teur, alors que nous étions encore totale­ment incon­nus.

C. G. : Ce qui est éton­nant, c’est que dès la pre­mière représen­ta­tion de ZARTAN, une mytholo­gie est née. Vous avez même été invités aux réjouis­sances qui célébraient en Iran le deux mil­lième anniver­saire de l’Em­pire Perse. Vous avez joué à Shi­raz mais avez été inter­dits à Téhéran.

J. S. : Limpéra­trice d’I­ran avait lu les deux pages de Chris­tiane Duparc dan le Nou­v­el Obser­va­teur et aus­sitôt demandé à son cousin, le directeur du Fes­ti­val, de nous inviter. Comme il y avait dans le spec­ta­cle des hommes nus qui se prom­e­naient par­mi les spec­ta­teurs, elle n’avait pas le droit d’as­sis­ter à la représen­ta­tion. L’im­péra­trice a donc demandé à son cousin de nous inviter, d’aller voir le spec­ta­cle à sa place et de lui en ren­dre compte. Ce qu’il a fait. Nous fai­sions scan­dale. Je me sou­viens notam­ment que nous avions eu un prob­lème parce que Myr­i­am Méz­ière s’é­tait promenée dans la rue en mini jupe …

C. G. : Tu as aus­si fait une parade pour les Jeux Olympiques de Munich en 1972.

SUITEP55 (Eloïse)





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30 Oct 1995 — Werner Schwab est né à Graz, en Autriche, en 1958. Il meurt à 35 ans, le 31 décembre 1993, laissant…

Wern­er Schwab est né à Graz, en Autriche, en 1958. Il meurt à 35 ans, le 31 décem­bre 1993, lais­sant der­rière lui une œuvre théâ­trale impor­tante, com­mencée trois ans avant sa mort et très vite…

Par Mike Sens
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