L’art de la condensation

L’art de la condensation

Sur le théâtre de Krystian Lupa

Le 27 Jan 2004
Jerzy Trela, Jan Frycz et Dorota Wodzien dans LES SOMNANBULES. HUGENAU Où LE REALISME, de Hermann Broch, mise en scène de Ktystian Lupa au Théâtre Stary de Cracovie, 1998. Photo M. Gardulski.
Jerzy Trela, Jan Frycz et Dorota Wodzien dans LES SOMNANBULES. HUGENAU Où LE REALISME, de Hermann Broch, mise en scène de Ktystian Lupa au Théâtre Stary de Cracovie, 1998. Photo M. Gardulski.

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Jerzy Trela, Jan Frycz et Dorota Wodzien dans LES SOMNANBULES. HUGENAU Où LE REALISME, de Hermann Broch, mise en scène de Ktystian Lupa au Théâtre Stary de Cracovie, 1998. Photo M. Gardulski.
Jerzy Trela, Jan Frycz et Dorota Wodzien dans LES SOMNANBULES. HUGENAU Où LE REALISME, de Hermann Broch, mise en scène de Ktystian Lupa au Théâtre Stary de Cracovie, 1998. Photo M. Gardulski.
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La scène polonaise-Couverture du Numéro 81 d'Alternatives ThéâtralesLa scène polonaise-Couverture du Numéro 81 d'Alternatives Théâtrales
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Cri­sis : le mot est gri­bouil­lé, par­mi des dessins sauvage­ment enfan­tins, sur le mur de la cham­bre d’asile où le Maître vient racon­ter son his­toire à Biez­dom­ny, dans Le Maître et Mar­guerite.
Le théâtre de Lupa1 est bien un théâtre de la crise : mais une crise sus­pendue, lanci­nante ; non pas ten­due vers un cli­max, mais ouverte sur un glisse­ment : un temps d’entre-deux, et donc de révéla­tion, un temps de trou­ble où les con­tours se défont tout en n’en acquérant para­doxale­ment, dans leur incer­ti­tude, que plus de net­teté : la den­sité du trem­blé, d’un « bougé immo­bile ».

Réal­isme et espaces men­taux : le trou­ble d’une réversibil­ité per­ma­nente

C’est bien ce temps spé­ci­fique que por­tent à la scène les spec­ta­cles de Lupa : crises indi­vidu­elles, bien sûr (ain­si la mort des par­ents pour le nar­ra­teur d’Extinc­tion), mais tou­jours symp­to­ma­tiques de crises iden­ti­taires plus larges, et en fin de compte de la con­di­tion spir­ituelle de l’homme mod­erne — le « mys­tère (…) de l’homme ordi­naire »2, de l’homme désar­mé, dému­ni3, dont la com­plex­ité fascine le met­teur en scène polon­ais.
Le choix du matéri­au de la lit­téra­ture romanesque autrichi­enne de l’entre-deux-guerres, comme Musil ou le Broch des Som­nam­bules, en est par­ti­c­ulière­ment révéla­teur ; et, dans Le Maître et Mar­guerite de Boul­gakov, l’irruption du Dia­ble venu semer — et surtout révéler — le chaos dans le Moscou des années 1930 en serait comme une allé­gorie.
Des temps de per­tur­ba­tion et de décom­po­si­tion des repères, des valeurs éthiques, de décalage des per­cep­tions, de man­i­fes­ta­tion des zones obscures de la con­science et des lim­ites de la ratio­nal­ité. Des temps de crise spir­ituelle, ouvrant sur l’innommable, l’inconscient, le non-savoir : la « spir­i­tu­al­ité en ce sens que j’essaie de pénétr­er le noy­au de cer­taines caus­es, cer­tains motifs, que je sois capa­ble ou non d’en don­ner le nom. (…) Cette chose inex­primable, insai­siss­able, j’essaie de l’introduire dans mon œuvre sous forme de pressen­ti­ment »4.

Ce terme de pressen­ti­ment rend bien compte de la per­cep­tion qu’induisent les spec­ta­cles de Lupa : le para­doxe d’une évi­dence indi­recte, comme passée par le fil­tre d’un nœud de temps et d’espace. Qu’est-ce en effet qu’un pressen­ti­ment, sinon cette expéri­ence sen­si­ble par laque­lle quelque chose appa­raît comme absol­u­ment cer­tain, évi­dent, tout en restant mar­qué du sceau de l’irréel ?
Or c’est bien une telle aura — « unique appari­tion d’un loin­tain, si proche soit-elle »5, selon Ben­jamin — qui affecte ces spec­ta­cles. Simul­tané­ment proche et loin­tain, net et dif­fus, con­cret et men­tal : ain­si s’offre le théâtre de Lupa à son spec­ta­teur, en per­ma­nence dans une telle dual­ité, une telle ten­sion intrin­sèque.
Qu’on se sou­vi­enne par exem­ple de la pre­mière scène de son pre­mier spec­ta­cle présen­té en France, Les Som­nam­bules : devant les deux per­son­nages — Von Bertran (Piotr Ski­ba) et Eliz­a­beth (Katarzy­na Gniewkows­ka), la fiancée de son ami —, seuls sur le plateau en cos­tumes début de siè­cle et s’entretenant douce­ment de la nature de l’amour, s’imposaient d’une part l’impression d’être devant comme la quin­tes­sence d’un théâtre réal­iste et « psy­chologique », dans la grande tra­di­tion de la direc­tion d’acteurs des pays de l’Est, et, simul­tané­ment, un sen­ti­ment prég­nant d’étrangeté devant ces présences sem­blables à celles d’images men­tales.
Pre­mière scène symp­to­ma­tique : entre la den­sité, l’évidence con­crète des élé­ments présents sur la scène, et les échos qu’ils ne cessent d’ouvrir, entre la nature pro­fondé­ment matérielle des décors et d’un jeu apparem­ment réal­iste et l’onirisme trou­ble d’une scène réson­nant comme un espace men­tal, le théâtre de Lupa ne cesse d’être dans une telle dialec­tique, et d’instaurer ain­si le trou­ble d’une réversibil­ité per­ma­nente.
L’intérieur et l’extérieur com­mu­niquent, la fron­tière est poreuse, le spec­ta­teur ne sait jamais de quel côté du miroir il se trou­ve. Lupa place ain­si le spec­ta­teur face à la représen­ta­tion devant une même étrangéisante per­cep­tion que celle qui car­ac­térise les plongées vers l’insaisissable de ses per­son­nages, comme Esch dans Les Som­nam­bules :

« August Esch, un homme qui en apparence tient ferme sur ses jambes, mais qui plonge incon­sciem­ment dans les régions som­bres et trou­bles d’une expéri­ence spir­ituelle très par­ti­c­ulière. La réal­ité, qu’il mesurait et accep­tait en s’appuyant sur des critères clairs et invari­ables, lui échappe peu à peu jusqu’à lui devenir incom­préhen­si­ble : Esch se sent main­tenant comme sur une île qui ne cesse de se réduire – l’île du véri­fi­able et du mesurable, qu’entoure l’océan de l’amorphe. Il y flotte des êtres incon­nus et puis­sants (…). Des pen­sées nou­velles le tra­versent (…). Tout cela n’est pas vécu dans le monde intérieur de son imag­i­na­tion, mais bien dans le cer­cle des événe­ments et des per­son­nes réels, décou­verts soudain sous un angle nou­veau et sur­prenant. »6

Mod­èle onirique et inquié­tante étrangeté

Il y a bien une inquié­tante étrangeté qui baigne en per­ma­nence ce théâtre. La sub­ver­sion matricielle de cette scène réal­iste décalée la fait percevoir à tra­vers les teintes de l’imaginaire et de l’inconscient. Ces teintes et cette étrangeté sont d’ailleurs dev­enues comme une mar­que de fab­rique : une « manière », comme on le dirait d’un pein­tre, dis­tinc­tive d’une esthé­tique que Lupa désigne lui-même comme une sorte de « réal­isme mag­ique appro­fon­di par la psy­cholo­gie »7.
Ce réal­isme mag­ique passe par la créa­tion d’un espace-temps extrême­ment sin­guli­er, dilaté et con­den­sé à la fois. Il est porté par un envi­ron­nement sonore inquié­tant : des nappes pesantes, des bruits stri­dents, la présence insis­tante d’une musique (com­posée générale­ment par Jacek Ostaszews­ki) jouant comme un « élé­ment pri­maire » qui, loin d’avoir une fonc­tion illus­tra­tive ou de sim­ple appoint, sous-tend le jeu de l’acteur, lui sert de sup­port en « lui ouvr(ant) un espace de forces (…) constitu[ant] un élé­ment essen­tiel du dia­logue intérieur, pro­fondé­ment caché, de l’acteur avec l’espace »8.
La tex­ture par­ti­c­ulière du théâtre de Lupa s’appuie égale­ment sur divers procédés ryth­miques et optiques. Il y a bien sûr, en pre­mier lieu, la lenteur qui baigne ces spec­ta­cles (ce « temps du théâtre pro­pre à Lupa, entê­tant, vénéneux, dilaté » dont par­le Jean-Pierre Thibau­dat) : non pas à pro­pre­ment par­ler le fruit d’un ralen­tisse­ment, mais une durée naturelle, celle de la pesan­teur pro­pre à la con­cen­tra­tion et à la charge intérieure des acteurs-per­son­nages, et dont la ryth­mic­ité organique peut appar­enter la représen­ta­tion à « un songe dépourvu de tout point de référence, un rêve qui n’est plus que devenir flu­ide » (pour repren­dre les ter­mes employés par Lupa pour car­ac­téris­er la per­cep­tion de l’existence envahie par l’irrationnel de l’homme nou­veau décrit par Broch9).
Mais elle s’appuie égale­ment beau­coup sur le tra­vail de la lumière, générale­ment faible et flot­tante, ou sou­vent encore isolant des per­son­nages au milieu de la pénom­bre générale.

Le rap­port insti­tué sur la scène entre la pénom­bre et la lumière s’inscrit, plus large­ment, dans la nature des espaces scéniques que con­stru­it Lupa, qui instau­rent une per­pétuelle ambiguïté — l’indistinction des fron­tières et la men­ace d’une con­t­a­m­i­na­tion per­ma­nente entre la matière et le vide, ou entre la per­cep­tion extérieure et l’espace intérieur.
La sim­plic­ité des élé­ments de décors (quelques pans de murs usés, quelques fenêtres aux vit­res pous­siéreuses, quelques meubles — tables et buf­fet de bois, lits métalliques…) posés sur une scène sou­vent trop grande pour eux en fait comme des îles frag­iles au milieu du vide. Et ce d’autant plus que la scène — ou cer­tains élé­ments du plateau — est par­fois mise à dis­tance optique­ment du spec­ta­teur par des pans de tulle, une grille, voire des vit­res : ain­si la boîte de scène des Frères Kara­ma­zov était-elle voilée à sa face mais aus­si à son loin­tain d’un tulle, der­rière lequel s’étendait le noir d’un espace vide dont elle sem­blait émerg­er.
Les scéno­gra­phies de Lupa jouent d’ailleurs fréquem­ment de la coex­is­tence de plusieurs plans — plusieurs pans, serait-on ten­té de dire — dont les rap­ports fluctuent, en une oscil­la­tion dialec­tique, entre les lois d’une topogra­phie réal­iste et celles de visions oniriques. Extinc­tion, par exem­ple, instal­lait dans sa pre­mière par­tie un espace à dou­ble fond, dans lequel une baie vit­rée, en fonc­tion de l’éclairage, fer­mait tout en le dédou­blant de ses reflets l’espace réal­iste de l’appartement romain de Murau (le nar­ra­teur), ou bien lais­sait par moments appa­raître der­rière elle les images men­tales de sou­venirs sur­gis­sant de son mono­logue. À cet espace dou­ble suc­cé­daient, dans la deux­ième par­tie, tout d’abord les espaces restreints de la cui­sine ou de la salle à manger de Wolf­segg, jusqu’à ce que s’ouvre, sur la fin de la représen­ta­tion, la pro­fondeur de l’espace immense de la cham­bre des enfants, vide et chargée de refoulé famil­ial.
Espaces ambi­gus, au statut mou­vant, les scéno­gra­phies de Lupa sont d’ailleurs truf­fées d’escaliers ne menant nulle part, n’existant que pour créer une ver­ti­cal­ité et un incon­nu (Extinc­tion), comme peu­vent le faire de même des fenêtres en hau­teur (Les Frères Kara­ma­zov), truf­fées égale­ment de portes ouvrant sur des couloirs ou des sas débouchant eux-mêmes sur une autre porte (Les Frères Kara­ma­zov, Le Maître et Mar­guerite), de pans de murs et de cham­bran­les de portes posés au milieu du vide… La dual­ité réversible du théâtre de Lupa repose déjà sur la pré­car­ité de ces élé­ments d’espaces réal­istes posés au milieu (ou, dans Le Maître et Mar­guerite, plus fréquem­ment : autour) d’un vide qui les men­ace et les déréalise, comme si leurs images pou­vaient à tout moment être réab­sorbées par le chaos dont ils sem­blent issus.

Plus large­ment, il sem­ble bien que la scène lupi­enne fonc­tionne en bien des points sur des principes sim­i­laires à ceux de la scène du rêve, non seule­ment en ce qu’elle allie force d’impression et sen­ti­ment d’irréalité, d’étrangeté, mais aus­si en ce qu’elle se plaît à jouer de la con­den­sa­tion, de la sur­déter­mi­na­tion ou de la jux­ta­po­si­tion pour sub­ver­tir les lois logiques de la per­cep­tion. Les « visions » hal­lu­cinées que le met­teur en scène insère à plusieurs repris­es dans ses spec­ta­cles fonc­tion­nent d’ailleurs exacte­ment selon de tels principes oniriques : bref envahisse­ment de la scène par tous les per­son­nages dans un mou­ve­ment panique, comme affolés, dans Les Som­nam­bules ; « vision d’Aliocha » en pro­logue des Frères Kara­ma­zov ; « brève irrup­tion de tous les per­son­nages, ensem­ble et comme rachetés »10 dans le même spec­ta­cle ; appari­tion des per­son­nages du passé du nar­ra­teur dans la pre­mière par­tie d’Extinc­tion ; appari­tion de tous les pro­tag­o­nistes sur un échafaudage en fond de scène, comme réu­nis dans l’éternité, à la fin du Maître et Mar­guerite… Comme si ces scènes étaient con­stru­ites, d’une cer­taine manière, à l’image même des adap­ta­tions que fait Lupa des sommes romanesques dont il s’empare.

Les divers décalages par lesquels Lupa trou­ble l’apparence réal­iste de son théâtre pla­cent alors le spec­ta­teur dans un entre-deux, comme sur un seuil ; la représen­ta­tion de la crise donne nais­sance à une étrangeté inquié­tante, intri­g­ante, l’exploration des zones obscures con­fronte la per­cep­tion à un mys­tère, qu’il ne s’agit en aucun cas de dénier par la recon­struc­tion d’une posi­tion sur­plom­bante : « C’est un peu comme un rêve dont on vient de s’éveiller et que l’on tente de racon­ter, dont on cherche à trans­met­tre le mys­tère. C’est ce que je fais. Mais je ne veux pas trahir le mys­tère du rêve pour être com­pris. »11
Car le théâtre pour Lupa, c’est trans­met­tre ce que nous ignorons, ce que l’on ne sait nom­mer, c’est le lieu où des êtres (et des choses) sont perçus comme étranges, et en même temps proches : le choc d’une dis­tance non cri­tique, l’alliance para­doxale de la sépa­ra­tion et de la cap­ta­tion empathique12.

« Ain­si s’effondre le sol des cer­ti­tudes. (…) Telle est la décon­cer­tante poé­tique du rêve : le temps s’y ren­verse, s’y déchire, et la logique avec lui. (…) Ain­si la représen­ta­tion se sera-t-elle comme dél­itée d’elle-même, et l’affect de la représen­ta­tion, et l’affect de lui-même : comme si le tra­vail du rêve était mû par l’enjeu para­dox­al d’une visu­al­ité qui à la fois s’impose, nous trou­ble, insiste et nous pour­suit — dans la mesure même où nous ne savons pas ce qui en elle nous trou­ble, de quel trou­ble il s’agit… » : le théâtre de Lupa repose sur un glisse­ment sim­i­laire à celui qu’identifie ici Georges Didi-Huber­man13 dans les mécan­ismes du rêve et sa per­cep­tion.
Un tel délite­ment, sur la scène, fait image ; mais il expose aus­si en per­ma­nence son trou­ble insis­tant — por­tant souter­raine­ment en lui l’amorphe et le chaos sur lesquels pren­nent corps les présences scéniques, le risque de la folie comme dan­ger de la réversibil­ité et de la labil­ité.

La den­sité de présence de l’acteur

Car mal­gré sa rigueur et la force de ses images, rien de pro­pre ou de figé, ni d’esthétisant, dans ce théâtre : au con­traire, le chaos grouille, imposant l’onirisme trou­ble de cet espace-temps con­den­sé mais dis­ten­du, inquié­tant, sus­pendu. De son inspi­ra­tion psy­ch­an­a­ly­tique, le théâtre de Lupa ne fait pas leçon, ni dis­posi­tif objec­ti­vant d’observation ; il plonge au con­traire dans la com­plex­ité pro­pre à son objet, dans le mou­ve­ment de cette com­plex­ité. Nulle styl­i­sa­tion et nulle idéal­i­sa­tion — ni ratio­nal­i­sa­tion. Et si mys­ti­cisme il y a chez Lupa, il est incar­né et matéri­al­isé dans les êtres et les choses — ain­si que, égale­ment sans doute, dans le vide qui les entoure. Le mys­tère tient ain­si à un extrême effet d’insistance — ou de per­sis­tance —, qui n’est per­mis que par l’extrême den­sité des présences sur la scène — celle des acteurs en pre­mier lieu.

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Écrit par Christophe Triau
Essay­iste, dra­maturge et est pro­fesseur en études théâ­trales à l’Université Paris Nan­terre, où il dirige l’équipe Théâtre de...Plus d'info
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