Sanctuaire/abattoir

Sanctuaire/abattoir

Le 20 Jan 2004
PURIFIÉS, de Sarah Kane, mise en scène de Kzrysztof Warlikowski. Photo Stefan Okolowicz.
PURIFIÉS, de Sarah Kane, mise en scène de Kzrysztof Warlikowski. Photo Stefan Okolowicz.

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La scène polonaise-Couverture du Numéro 81 d'Alternatives ThéâtralesLa scène polonaise-Couverture du Numéro 81 d'Alternatives Théâtrales
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Pour le spec­ta­teur, le théâtre de War­likows­ki est le lieu d’un pro­fond psy­chodrame. Non pas d’une psy­ch­analyse — cha­cun la fait lui-même plus tard, après la sor­tie du théâtre et pour son pro­pre compte. Pen­dant la durée du spec­ta­cle, les pen­sées des spec­ta­teurs sont aspirées dans le piège d’une rébel­lion qui met à bas les quelques con­vic­tions indéboulonnables que cha­cun d’entre nous porte et nour­rit. Le but de War­likows­ki est d’éliminer toute pen­sée dirigée, mue par l’efficacité et ten­due vers l’obtention d’un but con­cret. Cette façon de penser et d’agir, qu’exige de nous une adéqua­tion à la rou­tine quo­ti­di­enne, bloque nos con­tacts avec la sphère du mythe et des fan­tasmes. Sou­vent, les cou­tumes cul­turelles en font même un inter­dit, voire un tabou.

War­likows­ki part du principe que si l’on ne brise pas la bar­rière de la pen­sée dirigée vers l’obtention des buts suc­ces­sifs de la vie, la pen­sée con­quérante, on ne peut créer au théâtre une sit­u­a­tion sincère qui nous per­me­t­trait de par­ler de choses essen­tielles comme, par exem­ple, la faute, l’identité sex­uelle, le car­ac­tère de la nature humaine et sa sub­or­di­na­tion devant le mal. Si nous ne nous lais­sons pas bris­er, nous ne trou­verons rien pour nous dans ce théâtre — nous res­terons des idiots boulever­sés.
War­likows­ki pro­pose le por­trait de son pub­lic dans La Tem­pête de Shake­speare. Le navire a été noyé, le théâtre com­mence. Pour cer­tains, la cat­a­stro­phe prend le sens d’une amorce de méta­mor­phose des valeurs et d’une trans­for­ma­tion du mode de pen­sée. Pour d’autres, c’est une occa­sion comme une autre pour s’installer con­fort­able­ment dans la vie en accord avec ses pro­pres con­cep­tions pré­somptueuses de supéri­or­ité.

Le lieu théâ­tral n’est jamais, chez War­likows­ki, totale­ment uni­voque et défi­ni. D’un côté, il est soumis à une fonc­tion­nal­ité scénique, con­stru­it en accord total avec l’action du spec­ta­cle ; d’un autre côté, il est forte­ment imprégné par des élé­ments des sphères les plus élevées et les plus éloignées de la nature humaine : la reli­gion et la mort. Ce lieu peut être appelé sanctuaire/abattoir ou bien sanctuaire/salle de dis­sec­tion.
On le voit dans chaque spec­ta­cle, même si les pro­por­tions de cha­cune des deux sphères peu­vent être dif­férentes : de l’équilibre dans Les Bac­cha­ntes d’Euripide jusqu’à l’appropriation de tout l’espace par la mort dans Puri­fiés, et par la reli­giosité — ou plutôt par le rit­uel — dans La Tem­pête. Aux élé­ments froids de la scéno­gra­phie — plas­tique, verre, aci­er, car­relage — s’opposent des objets liés à la vie : des portes en bois peint, de petits ora­toires avec des fig­ures saintes, une source d’eau pure, une table de bois autour de laque­lle se rassem­blent les per­son­nages.
La ten­sion main­tenue entre ce qui tire vers la vie et ce qui s’exhale de l’antre de la mort est essen­tielle et fon­da­men­tale dans ce théâtre. Dans cet espace en désor­dre s’inscrivent les con­flits liés à l’amour, au désir, à la cul­pa­bil­ité et à l’innocence. Dans cet espace, le mal joue sa par­tie.
On peut facile­ment con­stater que l’espace, con­stru­it par War­likows­ki avec son insé­para­ble scéno­graphe Mal­go­rza­ta Szczes­ni­ak, est un lieu hos­tile à l’homme. Il est dif­fi­cile de s’y sen­tir à l’aise ou de s’y installer. Il n’y a pas de place con­fort­able ou accueil­lante. Le micro­cosme de la scène réflé­chit ain­si la nature du monde — ou, plutôt, le point de vue des créa­teurs sur cette nature. Le monde n’est pas un lieu favor­able à l’homme. Au mieux, il con­serve la forme d’un espace stérile, plus facile à main­tenir pro­pre que les salles d’hôpital à tra­vers lesquelles l’homme devrait pass­er en essayant de ne pas salir.
Et s’il n’y réus­sit pas, comme par exem­ple Penthée, déchiré en lam­beaux par les Bac­cha­ntes, on peut en effac­er rapi­de­ment les traces, les net­toy­er afin de ne pas célébr­er la mémoire de ces événe­ments.

Renate Jett dans PURIFIÉS, de Sarah Kane, mise en scène de Kzrysztof Warlikowski au Théâtre Polski de Poznan, 2001. Photo Stefan Okolowicz.
Renate Jett dans PURIFIÉS, de Sarah Kane, mise en scène de Kzrysztof War­likows­ki au Théâtre Pol­s­ki de Poz­nan, 2001. Pho­to Ste­fan Okolow­icz.
Malgorzata HajewskaKrzysztofik et Thomas Schweiberer dans PURIFIÉS, de Sarah Kane, mise en scène de Kzrysztof Warlikowski au Théâtre Polski de Poznan, 2001. Photo Stefan Okolowicz.
Mal­go­rza­ta Hajew­skaKrzysztofik et Thomas Schweiber­er dans PURIFIÉS, de Sarah Kane, mise en scène de Kzrysztof War­likows­ki au Théâtre Pol­s­ki de Poz­nan, 2001. Pho­to Ste­fan Okolow­icz.

L’espace est aus­si, en grande mesure, un poly­gone pour observ­er les pos­si­bil­ités du texte que War­likows­ki prend sur son méti­er. Il doit offrir la chance d’expérimenter beau­coup de dif­férentes solu­tions d’interprétation. Il ne doit rien fer­mer, rien pré­cis­er — au con­traire. Son rôle est d’ouvrir le texte. On reproche sou­vent à War­likows­ki l’infidélité aux auteurs. Or ce met­teur en scène, comme peu d’autres, reste fidèle au texte dans son sens le plus pro­fond, s’écartant seule­ment des inter­pré­ta­tions habituelles.

Pour chaque texte, War­likows­ki part de la con­vic­tion que rien n’est don­né d’avance, qu’aucune inter­pré­ta­tion n’est défini­tive. L’exemple le plus fla­grant est le glisse­ment des accents dans les spec­ta­cles de Shake­speare. D’abord l’éloignement du mécan­isme de l’histoire qui, magis­trale­ment décrit par Jan Kott, s’est imposé pen­dant des années au théâtre — et pas seule­ment dans le théâtre polon­ais. Par­venant à Ham­let à tra­vers Péri­clès et Les Con­tes d’hiver, il a perçu dans les textes de Shake­speare l’importance du des­tin indi­vidu­el. C’était le pre­mier pas vers une inter­pré­ta­tion des textes non comme des réc­its de l’histoire de héros et de leurs actions, mais comme des réc­its sur des gens avec leurs émo­tions. Il nous est indif­férent que Ham­let soit le fils d’un roi. Cela n’a aucune influ­ence sur son his­toire. Dans la scène qui se déroule dans la cham­bre de sa mère, dans laque­lle il tue Polo­nius, Ham­let est nu — le plus humain pos­si­ble, incar­nant de manière la plus lis­i­ble toute la prob­lé­ma­tique liée au mythe et au com­plexe d’Œdipe. Il en est de même dans Les Bac­cha­ntes, où le cos­tume roy­al se trans­forme osten­si­ble­ment en une veste de plumes et les peaux de chèvre des femmes folles en four­rure d’astrakan, comme celle que les femmes polon­ais­es por­tent à l’église le dimanche. De nou­veau, nous sommes dans un lieu et un temps incon­nus, dans un espace idéal pour extraire les sens du texte. Nous sommes ici et main­tenant, ou bien tou­jours et partout.

Mais l’anachronisme des événe­ments avec le temps et l’espace n’est cepen­dant pas la seule inter­ven­tion sur le fil du texte. Toutes les inter­ven­tions qui touchent à la clarté des plans tem­porels con­duisent aux avancées les plus impor­tantes et les plus cri­tiques, notam­ment la lec­ture anachronique du texte. War­likows­ki lit en effet le texte à par­tir de dif­férentes per­spec­tives tem­porelles, sans rap­port avec l’époque de son écri­t­ure. Ces choix sont liés à ses con­cep­tions sur le monde. Deux exem­ples fla­grants : Les Bac­cha­ntes et Puri­fiés.
Dans Les Bac­cha­ntes, toute la tragédie d’Euripide est lue à tra­vers le catholi­cisme mis­éri­cordieux d’aujourd’hui, dépé­nal­isant et accom­modant. Il en résulte une mise à nu de la super­fi­cial­ité religieuse face à l’existence incon­cev­able et ter­ri­ble de Dieu. Dans Puri­fiés, c’est l’inverse : dans cette his­toire con­tem­po­raine, située — tout au moins au pre­mier abord — en dehors d’un quel­conque con­texte religieux, War­likows­ki a intro­duit tout le sché­ma rit­uel de la tragédie grecque selon la con­cep­tion et la lec­ture clas­sique d’Aristote. Puri­fiés peut sig­ni­fi­er ici cathar­sis. Il en résulte un spec­ta­cle pro­fondé­ment fidèle au texte, décou­vrant l’existence du mal inclus en nous et dans le dieu qui accom­pa­gne nos con­voitis­es.

Stanislawa Celinska, Jacek Poniedzialek et Miroslaw Zbrojewicz dans HAMLET, de William Shakespeare, mise en scène de Krzysztof Warlikowski au Théâtre Rozmaitosci de Varsovie, 1999. Photo Stefan Okolowicz.
Stanis­lawa Celin­s­ka, Jacek Poniedzialek et Miroslaw Zbro­jew­icz dans HAMLET, de William Shake­speare, mise en scène de Krzysztof War­likows­ki au Théâtre Roz­maitosci de Varso­vie, 1999. Pho­to Ste­fan Okolow­icz.

Puri­fiés était, dans le théâtre de War­likows­ki, le point cul­mi­nant et la con­séquence naturelle des spec­ta­cles précé­dents. Sarah Kane est, à côté de Koltès, le seul auteur con­tem­po­rain dans le réper­toire de ce met­teur en scène. Ce n’est pas un hasard : ce sont deux nou­veaux poètes mau­dits. Mal­gré les excel­lents résul­tats apportés par le tra­vail sur les textes clas­siques, ce n’est qu’avec celui de Sarah Kane que l’on parvient à un bas­cule­ment majeur. Deux éner­gies et deux sen­si­bil­ités sim­i­laires se sont ren­con­trées : l’auteur-poète et le met­teur en scène-poète.
La célèbre phrase de Kane sur l’amour mal­heureux, non réciproque, sem­blable à Dachau, a tout à coup apporté un éclairage nou­veau sur tout le théâtre de War­likows­ki. Le met­teur en scène que l’on voy­ait comme un esthète — auquel on reprochait la méta-théâ­tral­ité comme seule voie de com­mu­ni­ca­tion avec le pub­lic — a com­mencé à être perçu, après Puri­fiés, comme un créa­teur indé­ni­able­ment et pro­fondé­ment engagé dans le dis­cours sur la con­cep­tion actuelle de la cul­pa­bil­ité et du pou­voir dans la rela­tion entre les hommes.
On a réal­isé que même les soumis­sions amoureuses apparem­ment inno­centes, comme celle de l’amoureux écon­duit de Shake­speare, prêt à tout afin de con­quérir l’amour de sa bien-aimée, ne sont pas des jeux et des amuse­ments de théâtre. War­likows­ki perçoit l’existence humaine sous son aspect trag­ique et remar­que le poids de la souf­france indi­vidu­elle provo­quée par le rejet, la dif­férence, le sur­plus ou le manque d’amour.
Il n’y a pas de Songe d’une nuit d’été inno­cent, comme il n’y avait pas aupar­a­vant d’innocente Mégère apprivoisée. Kane a don­né un point de vue très con­cret : la néces­sité de pren­dre la faute sur soi et d’en finir avec elle (« C’est moi qui ai gazé les Juifs », dit l’héroïne de 4.48 Psy­chosis).

Aleksander Bednarz, Malgorzata HajewskaKrzysztofik dans LES BACCHANTES, d’Euripide, mise en scène de Kzrysztof Warlikowski au Théâtre Rozmaitosci de Varsovie, 2001. Photo Stefan Okolowicz.
Alek­sander Bed­narz, Mal­go­rza­ta Hajew­skaKrzysztofik dans LES BACCHANTES, d’Euripide, mise en scène de Kzrysztof War­likows­ki au Théâtre Roz­maitosci de Varso­vie, 2001. Pho­to Ste­fan Okolow­icz.

War­likows­ki lutte obstiné­ment pour sauver les valeurs, pour la pos­si­bil­ité de sur­vivre dans ce sanctuaire/abattoir qu’est le monde. De ce point de vue, on peut dire de lui qu’il est infin­i­ment con­ser­va­teur. La dig­nité humaine, la lib­erté, la jus­tice, le bien, le bon, la vérité, l’amour, sont de grands mots dont son théâtre prend la défense, mon­trant d’ailleurs immé­di­ate­ment que cette lutte est dés­espérée — trag­ique car per­due d’avance.
On ne peut oblig­er per­son­ne à aimer, on ne peut donc ren­dre per­son­ne heureux par amour. On ne peut qu’éveiller de som­bres fan­tasmes, réveiller le mal qui, attiré par le mal­heur, effectuera son tra­vail de destruc­tion. Seules les valeurs appar­entes comme la foi dans la supéri­or­ité de l’ordre rationnel sur les émo­tions — et même sur la méta­physique — sont remis­es en ques­tion. Ces principes, que défend Penthée dans Les Bac­cha­ntes, ne sont pas ten­ables ; ils sont anachroniques face à la dés­in­té­gra­tion des indi­vidus. On ne sait même pas s’ils ont une force pos­i­tive, con­struc­tive, un pou­voir sal­va­teur. Face à l’élément dionysi­aque qui coule en som­bre fleuve dans nos âmes déchirées, l’ordre rationnel et les principes, étab­lis de sur­croît à l’échelle de l’État ou de l’institution, n’ont aucune chance de vérité ou de crédit.

Le théâtre de War­likows­ki est beau jusqu’à l’obsession. Don­ner un charme immac­ulé à la per­ver­sion et à l’horreur con­tem­po­raine est à dou­ble tran­chant. D’un côté, cela per­met une pro­fonde iden­ti­fi­ca­tion, voire une empathie des spec­ta­teurs avec les événe­ments de la scène ; de l’autre, cela les rend encore plus insup­port­a­bles : ils per­turbent d’autant plus notre paix et s’accroissent lorsqu’on s’éloigne de leur représen­ta­tion. On ne peut oubli­er les superbes images tra­vail­lées avec soin. Cette per­fec­tion artis­tique, garantie à chaque spec­ta­cle, cette ter­ri­ble beauté détru­it la sen­si­bil­ité et lui per­met de dur­er. War­likows­ki prou­ve — ou plutôt con­state d’une manière artis­tique­ment indis­cutable — qu’aucun Polaroïd ne pour­ra décrire notre réal­ité. Les images doivent porter toutes les car­ac­téris­tiques du hasard, en accord avec l’esthétique con­tem­po­raine, mais avec tout le raf­fine­ment et l’art néces­saires. Ici s’accomplit la vic­toire de la forme et de la langue poé­tique for­mulée par le met­teur en scène. On ne peut exprimer la souil­lure et le mal­heur avec la souil­lure et le mal­heur. Il n’en sor­ti­rait rien. Pour ren­dre la souil­lure per­cep­ti­ble, il faut d’abord la net­toy­er et la trans­pos­er dans les plus hautes sphères de l’art. Il faut se sou­venir encore d’une chose — War­likows­ki le sait par­faite­ment — : aucun sen­ti­men­tal­isme. D’où la froideur de ses représen­ta­tions, la dis­tance prise par les acteurs vis-à-vis des per­son­nages créés avec les plus pro­fondes strates de leur émo­tion per­son­nelle. L’oxymore entre les événe­ments de la scène et les réac­tions des spec­ta­teurs.

Malgorzata HajewskaKrzysztofñk et Redbad Klynstra dans LA TEMPÊTE, de William Shakespeare, mise en scène de Kzrysztof Warlikowski au Théâtre Rozmaitosci de Varsovie, 2003. Photo Stefan Okolowicz.
Mal­go­rza­ta Hajew­skaKrzysztofñk et Red­bad Klyn­stra dans LA TEMPÊTE, de William Shake­speare, mise en scène de Kzrysztof War­likows­ki au Théâtre Roz­maitosci de Varso­vie, 2003. Pho­to Ste­fan Okolow­icz.

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Écrit par Piotr Gruszczynski
Piotr Gruszczyn­s­ki est cri­tique théâ­tral en Pologne. Il col­la­bore au fes­ti­val Dia­log à Wro­claw. En 2003, il a...Plus d'info
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19 Jan 2004 — C’est par Shakespeare que le metteur en scène polonais Krzysztof Warlikowski s’est fait connaître, de Cracovie à Paris, où il…

C’est par Shake­speare que le met­teur en scène polon­ais Krzysztof War­likows­ki s’est fait con­naître, de Cra­covie à Paris, où il a vécu plusieurs années, étu­di­ant en philoso­phie et assis­tant de Peter Brook — comme il…

Par Fabienne Arvers
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