Strehler avait l’habitude d’envoyer des lettres et des petits mots à ses comédiens : pour préciser le détail d’une répétition, pour leur souhaiter « bonne chance » avant un début, pour exprimer ce qu’il était difficile de leur dire directement. La lettre qui suit a été envoyée par Giorgio Strehler à Giulia Lazzarini avant le début de Oh ! Les beaux jours ! (le 5 mai 1982).
« Giulia, tu es un instrument musical parfait. Tu résonnes comme je veux. »

Chère Giulia,

