La plupart des artistes conviés cette année par le Festival d’Avignon 2005 se présentent en auteurs d’univers poétiques accomplis. Univers singuliers, univers signés qui font de la perturbation leur vœu et de la libération leur exigence. Ce numéro les questionne sur la prise de risque nécessaire à l’exercice de leur art.
La nouvelle subjectivité
LA REVUE L’Art du théâtre que je dirigeais au Théâtre national de Chaillot, du temps d’Antoine Vitez, faisait, en 1987,…