Le plus beau mirage avenir est un geste qui le dira

Le plus beau mirage avenir est un geste qui le dira

Le 18 Juin 1991
Théo Kailer, Béatrice Michel, Xavier Guitter, Xavier Thierry, Frédéric Fachéna. No MAN'S MAN.
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Article publié pour le numéro
Mettre en scène aujourd'hui-Couverture du Numéro 38 d'Alternatives ThéâtralesMettre en scène aujourd'hui-Couverture du Numéro 38 d'Alternatives Théâtrales
38
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L’IMACHINERIE du verbage où nous rêves rebon­brisent en raf­fale comme une scan­sion adul­cin­er sont gestes à la pluie de langue et salivent sans pêch­er ni dé­ mâter l’éru­dic­tion.
Je rêver­ie-alité d’autres parts, d’autres jeux où lieux corps s’abîme éven­trale­ment d’une épine cares­sante à croir’ une véri­ta­ble con­trad’his­roire métis­sée, ce qui compte dans mon rê­ve c’est le bruit de la loi qui lâche son con­tenu par dessus bord. Dans chaque phrase une honte et minante à Jésus et à Christ s’char­nelle au dis­cours de l’in­térieur bossu.
Écartèle-toi ! j’écri­jure une chi­mère vertébrale nerf plus bec plus ul­tra, une exode, quelque far away où la rosse de mes pognes fait frayeur, ma parole, c’est ouvert rouge ! J’en saigne de retour comme un sol­dat dents des­ niffre­ments et shoot-ora­toires de dé­ mon de midi à qua­torze heures par jours de lèvres bla I bla ! bla’
L’aveu queue j’ob­scène se croix en corps déten­teur du chant des si­rènes d’Ulysstoire et se déhanche sans inter­rup­tion de notes. Mon leurre en gorge à voile léployée se mâche jus­ qu’à la moelle de mes os, pourquoi se le cracher ?
parce que un geste qu’inédit maux con­science avec ses jambes, avec ses bras. Qui ne pié­tine tue sa voie en corps pro­fond !

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