Je danse donc j’en doute : récit d’une coopération entre la danse de rue et la pop philosophie pour la création de CRACKz de Bruno Beltrão

Danse
Parole d’artiste
Réflexion

Je danse donc j’en doute : récit d’une coopération entre la danse de rue et la pop philosophie pour la création de CRACKz de Bruno Beltrão

Le 3 Nov 2023
CRACKz, Companhia de Dança de Rua de Niterói. Photo : Nina Kramer, reproduite avec l’autorisation de Bruno Beltrão.
CRACKz, Companhia de Dança de Rua de Niterói. Photo : Nina Kramer, reproduite avec l’autorisation de Bruno Beltrão.
Article publié pour le numéro
Couverture du numéro 143 - Scènes du Brésil
143

À la fin de l’année 2011, il y a presque dix ans, le choré­graphe Bruno Bel­trão, l’un des fon­da­teurs de la com­pag­nie Grupo de Dança de Rua de Niterói, m’a invité à faire par­tie de l’équipe de créa­tion d’un spec­ta­cle, encore sans titre à l’époque, qui a abouti à CRACKz — Dança mor­ta (CRACKz — Danse morte) dont la pre­mière mon­di­ale eut lieu en mai 2013 au Kun­sten­fes­ti­valde­sarts (Brux­elles). Ma par­tic­i­pa­tion à ce proces­sus de créa­tion con­sis­tait à être présent toutes les semaines avec les mem­bres de la com­pag­nie pour met­tre en par­al­lèle la danse et la philoso­phie et con­cen­tr­er les débats sur des ques­tions liées à l’acte créa­teur, au binôme orig­i­nal-copie et à la rela­tion entre art et tech­nolo­gie. J’avais déjà col­laboré de façon ponctuelle avec Bruno et ses danseurs et j’admirais beau­coup son tra­vail. La propo­si­tion de Bruno était cette fois-ci plus rad­i­cale et j’ai accep­té volon­tiers de relever le défi. Ce texte fait le réc­it de cette expéri­ence qui a duré env­i­ron 18 mois et qui a mis en coopéra­tion la danse urbaine de Bruno Bel­trão et mon pro­pre pro­jet de recherche autour de la pop philoso­phie, avec la rue comme par­a­digme com­mun et comme hori­zon d’inspiration.  

Pho­to prise par Bruno Bel­trão, Paris, jan­vi­er 2014

Pop-Lab (Laboratoire d’études de la pop philosophie) 

Le Pop-Lab est un lab­o­ra­toire de recherche trans­dis­ci­plinaire autour de la philoso­phie, des arts et de la cul­ture pop au Brésil. L’idée est de créer un espace per­me­t­tant aux chercheurs et aux étu­di­ants de dif­férents domaines (philoso­phie, anthro­polo­gie du geste, sci­ences de l’éducation, his­toire, muséolo­gie, théâtre, ciné­ma, danse, etc.) de dévelop­per des recherch­es théoriques, d’organiser des événe­ments sci­en­tifiques, de pro­mou­voir des activ­ités de vul­gar­i­sa­tion et égale­ment de pro­duire des « livrables » à car­ac­tère expéri­men­tal. Depuis 2006, le Pop-Lab établit un dia­logue entre la philoso­phie et les lan­gages con­tem­po­rains qui impliquent corps, image et con­cepts, comme le théâtre, la danse, les arts dits de la per­for­mance et le ciné­ma.

Il con­vient de pré­cis­er que je n’ai pas inven­té l’expression « pop philoso­phie » : je l’ai volée à Deleuze qui la men­tionne très briève­ment, sans la dévelop­per davan­tage, dans ses Dia­logues avec Claire Par­net1 lorsqu’il évoque l’impératif d’inventer de nou­velles manières de lire et d’écrire en philoso­phie. Mon appro­pri­a­tion du terme a été guidée par une envie d’expérimenter les approches méthodologiques que Deleuze lui-même n’avait peut-être pas envis­agées.

Un autre aver­tisse­ment impor­tant : l’utilisation ici du terme « pop » n’a rien à voir avec son sens courant, présent dans les titres d’émissions télévisées brésili­ennes telles que Super-Pop et qui se réfère à un diver­tisse­ment à car­ac­tère super­fi­ciel, facile et pure­ment com­mer­cial. L’idée, bien au con­traire, est de réha­biliter le pro­jet du mou­ve­ment « Pop Art » des années 1950, où le con­cept de « pop » était con­sid­éré comme quelque chose d’imaginatif, d’hybride, de rebelle, d’original, d’irrévérent, de cri­tique et de joyeux.

Le but ultime de la « pop philoso­phie » serait de ne pas faire la dis­tinc­tion entre « haute cul­ture » et « bassecul­ture », ce qui entraîn­erait le refus d’un canon philosophique hiérar­chique con­sti­tué de ques­tions traitées philosophique­ment et d’auteurs sup­posés incon­tourn­ables. Je suis con­va­in­cu que la philoso­phie ne doit pas se lim­iter à la réflex­ion sur la ques­tion de la lib­erté ou de la vérité chez Descartes ou Kant, mais qu’elle peut et doit égale­ment abor­der des ques­tions comme le pou­voir dans l’utilisation d’une télé­com­mande au sein d’une famille ou le déroule­ment éthico-poli­tique d’une bande dess­inée, d’un jeu vidéo ou d’une chan­son funk. 

La pop philoso­phie et la danse 

La danse est éton­nam­ment absente, à de rares excep­tions près, des grands sys­tèmes philosophiques. Pla­ton en fait un bref éloge dans les Lois (Livre II, 654c-657c) où il la décrit comme un moyen d’honorer les dieux et d’éduquer le corps du citoyen au com­bat. Aris­tote con­sacre égale­ment quelques brefs mots dans la Poé­tique à la danse pour démon­tr­er qu’elle a égale­ment une struc­ture mimé­tique, représen­tant des per­son­nages, des expéri­ences et des actions à tra­vers des gestes ryth­miques (Livre I, 1447a). Dans la Cri­tique de la fac­ulté de juger de Kant, il n’y a que deux pas­sages où la danse est men­tion­née. Cette forme d’expression artis­tique appa­raît comme un « jeu de formes » [Spiel der Gestal­ten], con­traire­ment au « jeu de sen­sa­tions » [Spiel der Empfind­un­gen] de la musique (§§ 14, 52). Dès le début de ses Leçons d’esthétique, Hegel nous met en garde con­tre les arts impar­faits [unvol­lkommene Kün­ste], tels que la danse et le jar­di­nage [Garten­baukun­st], qu’il ne men­tionne qu’en pas­sant, car il les con­sid­ère comme sec­ondaires2. C’est grâce à la réha­bil­i­ta­tion niet­zschéenne de la cor­poréité que la danse a été incluse dans la liste des théories esthé­tiques de manière plus con­tin­ue et plus con­séquente. 

Ma ren­con­tre avec la danse a égale­ment été tar­dive et remonte à l’an 2000. Lors du sym­po­sium Assim Falou Niet­zsche III – Para uma Filosofia do Futuro (Ain­si par­lait Niet­zsche III — pour une philoso­phie du futur), organ­isé par l’Université Fédérale de l’État de Rio de Janeiro (UNIRIO) et l’Université de l’État de Rio de Janeiro (UERJ), j’ai don­né une con­férence inti­t­ulée « Pourquoi la philoso­phie a‑t-elle oublié la danse ? ». J’étais pro­fondé­ment gêné par le silence de la philoso­phie à l’égard de la danse (et des arts du corps en général), en com­para­i­son à l’attention que la dis­ci­pline a pu porter au ciné­ma ou à la lit­téra­ture, par exem­ple. Dans le pro­longe­ment de cette com­mu­ni­ca­tion, j’ai pub­lié un essai3qui n’a pas eu beau­coup de réper­cus­sions dans le domaine insti­tu­tion­nel de la philoso­phie, mais qui m’a valu plusieurs invi­ta­tions à par­ticiper à des groupes d’étude et des tables ron­des trans­dis­ci­plinaires, ce qui a déclenché mes recherch­es dans le domaine des arts du spec­ta­cle.

En tant que pro­fesseur à l’UNIRIO, j’ai ain­si com­mencé à diriger de nom­breux mémoires de Mas­ter et des thès­es por­tant sur la danse. À cette époque, j’ai ori­en­té les travaux de spé­cial­istes de la danse déjà renom­més, telles que la cri­tique Sil­via Sot­er et l’ex-danseuse clas­sique Vera Aragão. Entre 2003 et 2006, j’ai com­mencé à reli­er mon pro­jet nais­sant de « pop philoso­phie » à des études dans le domaine des arts du spec­ta­cle en posant les ques­tions suiv­antes : qu’est-ce qui con­stitue la dimen­sion pop de la danse ? Com­ment la danse se mod­i­fie-t-elle au con­tact de la pub­lic­ité, la mode, le vidéo­clip et le jeu vidéo ? Serait-il pos­si­ble d’établir un dia­logue entre la danse con­tem­po­raine et les arts dits de l’image ? La danse con­tem­po­raine de Rio de Janeiro, en par­ti­c­uli­er, recy­clait con­tin­uelle­ment ses lan­gages par con­ta­gion avec le ciné­ma, la vidéo et le théâtre. Mon objec­tif prin­ci­pal était d’interroger les manières dont le pop se man­i­feste dans la danse con­tem­po­raine car­i­o­ca à par­tir des créa­tions de choré­graphes comme Dani Lima, Lia Rodrigues et Miche­line Tor­res.

Avec les philosophes et spé­cial­istes de la danse Rober­to Pereira (décédé pré­maturé­ment en 2009 mais qui était à l’époque pro­fesseur à Uni­ver­Ci­dade, à Rio de Janeiro) et Tereza Rocha (aujourd’hui enseignante-chercheuse à l’UFC, Uni­ver­si­dade Fed­er­al do Ceará), j’ai organ­isé deux sym­po­siums inter­na­tionaux sur les lisières entre la danse et la philoso­phie, en 2005 et 2006, le PPGT/UNIRIO, en coopéra­tion avec le SESC/Copacabana, qui a accueil­li des chercheurs tels que José Gil (Por­tu­gal), Isabelle Lau­nay (France), Kuni­ichi Uno (Japon) et Ram­sey Burt (Angleterre). En 2010, j’ai eu ma pre­mière expéri­ence en tant que con­sul­tant philosophique sur une créa­tion choré­graphique pour le spec­ta­cle Eu prome­to, isto é políti­co [Je te promets, ceci est poli­tique] de Miche­line Tor­res dont la pre­mière a eu lieu au SESC-Copaca­bana (de Rio de Janeiro) et qui a tourné dans nom­breuses villes au Brésil. J’ai de nou­veau col­laboré avec Miche­line, en 2011 cette fois-ci, dans le proces­sus de créa­tion du spec­ta­cle Peque­nas Histórias de Pes­soas e Lugares[Petites his­toires de gens et de lieux].

Ma ren­con­tre avec Bruno Bel­trão

Bruno Bel­trão est issu du milieu com­péti­tif de la danse de rue, il avait eu plusieurs prix en tant que danseur avant de s’aventurer en tant que choré­graphe. Pour les cri­tiques Sil­via Sot­er et Rober­to Pereira, ce jeune homme au crâne rasé qui por­tait tou­jours une cas­quette était l’un des espoirs de la danse con­tem­po­raine brésili­enne. Pereira et Sot­er m’avaient égale­ment par­lé de sa grande soif de con­nais­sances philosophiques. Quand, en 2003, je l’ai ren­con­tré per­son­nelle­ment pour la pre­mière fois, j’ai été éton­né par sa matu­rité alors qu’il était si jeune. La Com­pag­nie Grupo de Dança de Rua de Niterói a été créée en 1996 quand Bruno avait 16 ans ! 

Quelques années plus tard, en 2008, à l’occasion de la présen­ta­tion de l’œuvre H3, je l’ai ren­con­tré à nou­veau lors du fes­ti­val de danse con­tem­po­raine Panora­ma à Rio de Janeiro. Il m’a pro­posé de créer un groupe d’é­tudes avec lui et d’autres danseurs de sa com­pag­nie. Durant 3 mois, nous nous sommes réu­nis chaque semaine, Bruno, Wil­low (Eduar­do Her­man­son, danseur excep­tion­nel, aujourd’hui en car­rière solo), Thi­a­go Almei­da, d’autres danseurs et moi, pour par­ler des con­cepts fon­da­men­taux de la philoso­phie autour des théories sur le réel et les dif­férentes con­cep­tions de l’art, pos­i­tives ou néga­tives, de Pla­ton à Hei­deg­ger en pas­sant par Aris­tote, Kant et Hegel.

Ces échanges ont été intens­es, mais ils ne mis­aient pas sur un pro­jet pré­cis. Les seules réper­cus­sions immé­di­ates con­sis­taient en des jeux impro­visés citant des noms et des con­cepts de la philoso­phie dans les présen­ta­tions ultérieures du groupe, notam­ment dans la reprise de Telesquat (2003), un spec­ta­cle axé sur les rela­tions entre les corps et la tech­nolo­gie. Ce n’est que quelques années plus tard, en 2011, que Bruno Bel­trão m’a invité à nou­veau à col­la­bor­er avec sa com­pag­nie, cette fois en tant que « philosophe de l’équipe » pen­dant les répéti­tions de CRACKz. Les répéti­tions et nos réu­nions ont eu lieu pen­dant env­i­ron 18 mois dans divers endroits, notam­ment au théâtre munic­i­pal de Niterói et au club de ten­nis de Gra­jaú à Rio de Janeiro. 

Souvenirs des répétitions de CRACKz

Les répéti­tions étaient longues et fati­gantes. Les douze danseurs et une danseuse – très jeunes, presque tous noirs, orig­i­naires des ban­lieues de Rio de Janeiro – se plaig­naient beau­coup des blessures, des chutes et de l’usure physique sur­v­enues lors de la créa­tion du spec­ta­cle, dans une lamen­ta­tion joyeuse. Les con­ver­sa­tions philosophiques ont eu lieu en général durant les paus­es pen­dant les répéti­tions, moments où ils avaient sou­vent des séances de kinésithérapie. Nous y mêlions des remèdes pour le corps et l’esprit. Au début, les con­ver­sa­tions étaient accueil­lies avec scep­ti­cisme par les danseurs mais, pro­gres­sive­ment, ils sont devenus de plus en plus ent­hou­si­astes. La philoso­phie, comme tout bon médica­ment (phar­makon), peut comme le dis­ait Chico Sci­ence « à la fois organ­is­er pour désor­gan­is­er et désor­gan­is­er pour réor­gan­is­er »4. Ces effets ne provi­en­nent pas tant de la quan­tité de la drogue ou du remède, mais plutôt la manière dont cha­cun habite le monde (ethos) et, surtout, du moment oppor­tun (kairós) dans lequel cha­cun se trou­ve5.

Carte de CRACKz (archives de Bruno Bel­trão)
  1. Claire Par­net et Gilles Deleuze, Dia­logues, Paris : Flam­mar­i­on, 2008, p. 10. ↩︎
  2. G.W.F. Hegel : Ästhetik, Vol. II, Berlin : Auf­bau-Ver­lag, 1976, p.20. ↩︎
  3. Charles Feitosa, « Por que a Filosofia esque­ceu a Dança ? » (Pourquoi la philoso­phie a‑t-elle oublié la danse), in : C. Feitosa, M. Casano­va, M. Bar­renechea, R. Dias (orgs.), Assim Falou Niet­zsche III, Rio de Janeiro : Sete Letras, p. 31 – 37. ↩︎
  4. Chico Sci­ence & Nação Zumbi, « Da Lama ao Caos », chan­son qui mélange de rock et mara­catu, parue 1994 dans LP homonyme Da Lama ao Caos, du com­pos­i­teur et chanteur brésilien Chico Sci­ence (1996 – 1997).  ↩︎
  5. Je m’inspire ici de l’épistémologie du vin décrite dans le L’homme de génie et la mélan­col­ie — Prob­lème XXX, ouvrage attribué à Aris­tote. ↩︎
  6. Entre­tien avec Ugo Neves Ugo, réal­isé par Zoom, le 29 jan­vi­er 2021. ↩︎
  7. « CRACKz : Bruno Bel­trão, Grupo de Rua de Niterói » Chaîne YouTube du Fes­ti­val Panora­ma, 2013, disponible sur : [https://www.youtube.com/watch?v=5AhFTVcF7cA], con­sulté le 10 févri­er 2021. ↩︎
  8. F. Niet­zsche, Humain, trop humain, trad. A.M. Desrousseaux et H. Albert, §155, Le Livre de Poche, Paris, 1995. ↩︎
  9. Ibi­dem. ↩︎
  10. Umber­to Eco, Apoc­alit­ti­ci e inte­grati, Milan : Bom­piani, 1964.  ↩︎
  11. Sylvia Staude, « The Dark Side of the plan­et Hio­Hop Frank­furter Rund­schau », Dossier Frank­furt Book Fair, 7 octo­bre 2013. ↩︎
  12. Il s’agit de l’article Inscrib­ing dance. Pub­lié à l’origine dans : LEPECKI, André (ed.). Of The Pres­ence Of The Body – Essays on dance and per­for­mance the­o­ry. Mid­dle­town : Wes­leyan Uni­ver­si­ty Press, 2004, pp. 124 – 139. ↩︎
  13. Échange d’e‑mail avec Bruno Bel­trão, févri­er 2021. ↩︎
  14. Guy Duplat, « Bel­trão : danse jubi­la­toire et vir­tu­ose », pub­lié le jeu­di 16 mai 2013, disponible sur : [https://www.lalibre.be/culture/scenes/beltrao-danse-jubilatoire-et-virtuose-51b72cbfe4b0de6db974885d]. ↩︎
  15. Échange d’e‑mail avec Bruno Bel­trão, févri­er 2021. ↩︎
  16. « Qu’est-ce qu’une métaphore, si ce n’est une sorte de pirou­ette de l’idée dont on rap­proche les divers­es images ou les divers noms ? » (Paul Valéry, Philoso­phie de la danse » (1938), in Œuvres IVar­iété, « Théorie poé­tique et esthé­tique », N.R.F, Gal­li­mard, 1957, 1857 pages, pp. 1390 – 1403. ↩︎
  17. Échange d’email avec Bruno Bel­trão, févri­er 2021. ↩︎
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Écrit par Charles Feitosa
Charles Feitosa est pro­fesseur brésilien de philoso­phie et enseigne à Vienne. Arti­cle traduit du por­tu­gais (Brésil) par Rafael­la...Plus d'info
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